couverture

Charles le Téméraire : duc de Bourgogne, 1433-1477

Brion, Marcel

  • Éditeur : les Liens qui libèrent
  • Collection : Texto
  • 288 pages
  • ISBN 9791021007116
  • Paru le 3 novembre 2014
  • 19,95 $ *
  • Histoire

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Résumé

Dernier duc de Bourgogne, Charles le Téméraire (1433-1477) n’a pas été un guerrier brutal et borné, rêvant de plier l’Europe à sa loi. Il fut un homme d’État, un parfait chevalier et le plus « moral » des princes de son temps.Comte de Charolais, puis duc de Bourgogne, il contra les menées de son redoutable adversaire Louis XI, l’« universelle araigne », et forma un rêve : faire des États bourguignons une grande puissance au cœur de l’Europe occidentale.Mais cet attardé de l’âge féodal vivait dans des chimères. Les banquiers et les marchands commençaient à tenir le haut du pavé et la diplomatie prenait le pas sur l’idéal chevaleresque. Charles voulait être le nouvel Alexandre mais ne connut que deux déroutes face aux Suisses, et une mort anonyme, de la main d’un simple chevalier.

Biographie de l'auteur.e

Membre de l’Académie française, romancier et essayiste, MarcelBrion (1895-1984) est l’auteur de nombreux ouvrages, parmilesquels, dans la collection Texto, Les Borgia (2013), Blanche deCastille (2014), Charles le Téméraire (2014), Les Médicis (2015),Vienne au temps de Mozart et de Schubert (2015) et Attila (2016).

Quatrième de couverture

Dernier duc de Bourgogne, Charles le Téméraire (1433-1477) n’a pas été un guerrier brutal et borné, rêvant de plier l’Europe à sa loi. Il fut un homme d’État, un parfait chevalier et le plus « moral » des princes de son temps.Comte de Charolais, puis duc de Bourgogne, il contra les menées de son redoutable adversaire Louis XI, l’« universelle araigne », et forma un rêve : faire des États bourguignons une grande puissance au cœur de l’Europe occidentale.Mais cet attardé de l’âge féodal vivait dans des chimères. Les banquiers et les marchands commençaient à tenir le haut du pavé et la diplomatie prenait le pas sur l’idéal chevaleresque. Charles voulait être le nouvel Alexandre mais ne connut que deux déroutes face aux Suisses, et une mort anonyme, de la main d’un simple chevalier.