couverture

Vieilles maisons, vieux papiers, tome 4

Lenôtre, G.

  • Éditeur : les Liens qui libèrent
  • Collection : Texto
  • 416 pages
  • ISBN 9791021003705
  • Paru le 11 novembre 2013
  • 20,95 $ *
  • Histoire

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Résumé

Au paroxysme de la Terreur, quel était le quotidien d’Herman, président du Tribunal révolutionnaire? Le fameux mamelouk Roustam fut-il aussi fidèle à Bonaparte que l’affirme la tradition ? Quelle fut la vie de la famille royale au Temple ? Dans quel état d’esprit Charette se trouvait- il au temps de la Vendée militaire ? Rousseau sut-il mourir en « philosophe » ? Qui était Mme de Montcairzain, prétendue cousine de Louis XVI mais surtout aventurière ? Ce quatrième volume de la célébrissime série Vieilles maisons, vieux papiers permet aussi au lecteur de toucher du doigt la méthode suivie par Lenotre (1855-1935). En avant-propos, il réplique à ses détracteurs : l’historien se fait pamphlétaire pour défendre la rigueur de la « petite histoire » qui éclaire la « grande ».Préface de Bruno Fuligni

Biographie de l'auteur.e

G. Lenotre (1855-1935), historien méticuleux de la Révolution française, nous fait revivre ces terribles instants en nous faisant pénétrer dans les trois principaux lieux des massacres : la Force, l’Abbaye et le couvent des Carmes.

Quatrième de couverture

Au paroxysme de la Terreur, quel était le quotidien d’Herman, président du Tribunal révolutionnaire? Le fameux mamelouk Roustam fut-il aussi fidèle à Bonaparte que l’affirme la tradition ? Quelle fut la vie de la famille royale au Temple ? Dans quel état d’esprit Charette se trouvait- il au temps de la Vendée militaire ? Rousseau sut-il mourir en « philosophe » ? Qui était Mme de Montcairzain, prétendue cousine de Louis XVI mais surtout aventurière ? Ce quatrième volume de la célébrissime série Vieilles maisons, vieux papiers permet aussi au lecteur de toucher du doigt la méthode suivie par Lenotre (1855-1935). En avant-propos, il réplique à ses détracteurs : l’historien se fait pamphlétaire pour défendre la rigueur de la « petite histoire » qui éclaire la « grande ».Préface de Bruno Fuligni