couverture

Atmosphères (Les)

Loranger, Jean-Aubert

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Résumé

Au moment où il publie ses Atmosphères, en décembre 1920, Jean-Aubert Loranger sort à peine de la brève aventure du Nigog. Il vient aussi de faire son entrée à l'École littéraire de Montréal, où il participe à sa première réunion le 17 novembre de la même année. Il serait tentant d'y voir là un paradoxe, puisqu'à l'exotisme du premier répond le régionalisme de bon aloi de la seconde. Mais il faut comprendre que Loranger n'est d'aucun camp en particulier, d'aucune doctrine précise. Le poète et son oeuvre échappent aux catégories nettes. Nous sommes ici face à un écrivain marginal, c'est-à-dire un écrivain dont l'oeuvre trouve sa cohérence dans l'écart qu'elle ménage en regard des esthétiques dont elle se nourrit.

Quatrième de couverture

Au moment où il publie ses Atmosphères, en décembre 1920, Jean-Aubert Loranger sort à peine de la brève aventure du Nigog. Il vient aussi de faire son entrée à l'École littéraire de Montréal, où il participe à sa première réunion le 17 novembre de la même année. Il serait tentant d'y voir là un paradoxe, puisqu'à l'exotisme du premier répond le régionalisme de bon aloi de la seconde. Mais il faut comprendre que Loranger n'est d'aucun camp en particulier, d'aucune doctrine précise. Le poète et son oeuvre échappent aux catégories nettes. Nous sommes ici face à un écrivain marginal, c'est-à-dire un écrivain dont l'oeuvre trouve sa cohérence dans l'écart qu'elle ménage en regard des esthétiques dont elle se nourrit.