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Va voir au ciel si j'y suis / L'emmanuscrit de la mère morte

Cocke, Emmanuel

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Résumé

Premier roman d'Emmanuel Cocke, Va voir au ciel si j'y suis a été finaliste au Prix du Cercle du Livre de France en 1970 ainsi qu'au Prix Jean Béraud la même année. Ce premier roman à été fort bien accueilli par la critique. En voici les premières lignes :« Mon vieil appartement! Bigarré de mille bibelots inutiles, depuis une sarbacane d'enfance jusqu'à un slip blindé de femme d'ailleurs, en passant par une poignée de vieux loukoums offerts par un prince pédé d'une exotique contrée. Muni de cent mille odeurs fastes et néfastes. Bâti en forme de secte, si j'ose dire ; et je l'avais avoué, dans le temps, à un illuminé du nom d'Orson Rosebud, dernier survivant du mouvement anarchique de la Rose-Croix, et qui cachait ses idées subversives derrière d'épais cheveux rouges clairs. Mais il en perdit vite la propriété puisqu'il fut condamné à mort, cédant tous ses biens à un puissant trust urbain dont la directrice était sa dulcinée. »

Biographie de l'auteur.e

Emmanuel Cocke, né à Nantes le 19 mai 1945 et mort à Pondichéry le 19 septembre 1973, est un romancier, journaliste, cinéaste, critique de cinéma, chansonnier et comédien montréalais d'origine française. Fortement associé à la contre-culture québécoise des années 60 et 70, il est l'auteur de cinq romans publiés aux Éditions du Jour et aux Éditions Guérin. À l'occasion du quarantième anniversaire de son décès, Tête première fait reparaître ses deux premiers romans, Va voir au ciel si j'y suis et L'emmanuscrit de la mère morte, publiés dans un seul volume, tête bêche.