couverture

Comme au cinéma

Charlebois, Jean

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Résumé

Comme au cinéma cherche avant tout à s'insinuer dans l'esprit du lecteur par le truchement, plus pratique peut-être, de la prose dite poétique _ qui, pour certains, s'avère plus facile à prendre à bras-le-coeurps que le poème en vers. La trame du livre, quant à elle, est fort simple : la vie, l'amour, la mort. Et ce, à travers les yeux lucides d'un homme mûr, qui aime malaisément la vie, qui aime la mour, qui aime l'amort. À noter : Comme au cinéma ne comporte aucune scène durant laquelle un personnage passe un coup de téléphone portable _ dieu merci ! _, ni de séquence, ni de rushes, où un dingue regarde compulsivement son cellulaire à tout bout de champ. Cela va de soi, pendant la lecture vous êtes prié-e, comme au cinéma, d'éteindre votre portable. Le programme principal débute à l'instant...

Biographie de l'auteur.e

Jean Charlebois est écrivain, pour gagner sa mort. Parallèlement, il exerce le métier d'écrivain public, pour gagner sa vie. C'est-à-dire fabricant de textes sur mesure pour des sociétés publiques et privées, des PME, pour des musées, des chanteurs, des acteurs, des cinéastes... Né en 1945, à Baie-Saint-Paul (mais on dit que sa mère a accouché à Québec), du temps où les goélettes _ les voitures d'eau _ venaient charger de la « pitoune » au quai de la Baie. Il a publié des recueils de poèmes, trois romans (dont l'Oiselière, le plus connu), des ouvrages en prose, un journal en mille miettes ainsi qu'un recueil de nouvelles. Et ce, au Noroît, à l'Hexagone, aux éditions Paroles d'Aube (France), chez Lanctôt Éditeur, à la Passe du vent (France) et aux éditions Les heures bleues.

Quatrième de couverture

En feuilletant Comme au cinéma, de prime abord, on pourrait penser qu'il s'agit d'un scénario, car la structure même du livre s'apparente à un découpage. Mais là s'arrête la comparaison, puisqu'il s'agit bel et bien d'une oeuvre littéraire. L'auteur s'est inspiré de la charpente d'un scénario, rien de plus, pour installer son propos. Lautréamont a écrit : « La poésie doit avoir pour but la vérité pratique. » Comme au cinéma cherche avant tout à s'insinuer dans l'esprit du lecteur par le truchement, plus pratique peut-être, de la prose dite poétique _ qui, pour certains, s'avère plus facile à prendre à bras-le-coeurps que le poème en vers. La trame du livre, quant à elle, est fort simple : la vie, l'amour, la mort. Et ce, à travers les yeux lucides d'un homme mûr, qui aime malaisément la vie, qui aime la mour, qui aime l'amort. À noter : Comme au cinéma ne comporte aucune scène durant laquelle un personnage passe un coup de téléphone portable _ dieu merci ! _, ni de séquence, ni de rushes, où un dingue regarde compulsivement son cellulaire à tout bout de champ. Cela va de soi, pendant la lecture vous êtes prié-e, comme au cinéma, d'éteindre votre portable. Le programme principal débute à l'instant...