couverture

Société des cendres (La)

Audet, Martine

  • Éditeur : LE NOROÎT
  • 132 pages
  • ISBN 9782897661892
  • Paru le 19 août 2019
  • 23,00 $ *
  • Poésie

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Résumé

Suie, pleurs, étoiles, neiges et quelques floraisons, le poème n’est-il pas, comme les cendres, ce que l’on recueille avant la dispersion? Et le geste, le souffle du poète, celui d’un laveur/laveuse de cendres?Dans un enchaînement de glissements, de heurts et d’abandons, et sans jamais éviter le coeur, les poèmes de La société des cendres tentent de dégager l’empreinte, volatile certes, mais néanmoins fascinante, des tumultes, éclats et mystères de notre présence autant que de notre absence à l’autre et au monde.La deuxième partie, Des lames entières (d’abord paru en livre d’artiste avec des gravures de François-Xavier Marange), s’attarde, quant à elle, à ce qui construit ou entrave les mouvements parfois tranchants, parfois de fond, du comment être, à même la perte et ses souffrances, pour ouvrir un passage, entre désir et peur, à de possibles métamorphoses.

Biographie de l'auteur.e

Martine Audet a publié, depuis 1996, une douzaine de livres de poésie, principalement aux Éditions du Noroît et à l’Hexagone, ainsi que deux albums pour enfants. Certains de ses poèmes ont été traduits en anglais, catalan, espagnol, italien, tchèque. Entre autres distinctions, elle a reçu les prix Alain-Grandbois et Estuaire et a été finaliste à de nombreux prix dont le Gouverneur Général et le Grand prix du livre de la Ville de Montréal. Elle est membre de l’Académie des lettres du Québec.AU NOROÎT, elle a publié Ma tête est forte de celle qui danse (2016), Tête première / dos / contre dos (2014, finaliste au Prix du Gouverneur général), Des voix stridentes ou rompues (2013, finaliste au Grand prix du livre de la Ville de Montréal et finaliste au Prix du festival de la poésie de Montréal), Orbites (2000 [2011], prix Alain-Grandbois de l’Académie des lettres du Québec, prix Terrasses St-Sulpice de la revue Estuaire et finaliste au Prix du Gouverneur général), Doublures (1998) et Les murs clairs (collection «Initiale», 1996). Elle a également publié Beaucoup, un livre d’artiste réservé aux membres du Club des ami.e.s du Noroît (2017, collection «Orphanos»).

Quatrième de couverture

Suie, pleurs, étoiles, neiges et quelques floraisons, le poème n’est-il pas, comme les cendres, ce que l’on recueille avant la dispersion? Et le geste, le souffle du poète, celui d’un laveur/laveuse de cendres?_x000D_Dans un enchaînement de glissements, de heurts et d’abandons, et sans jamais éviter le coeur, les poèmes de La société des cendres tentent de dégager l’empreinte, volatile certes, mais néanmoins fascinante, des tumultes, éclats et mystères de notre présence autant que de notre absence à l’autre et au monde._x000D_La deuxième partie, Des lames entières (d’abord paru en livre d’artiste avec des gravures de François-Xavier Marange), s’attarde, quant à elle, à ce qui construit ou entrave les mouvements parfois tranchants, parfois de fond, du comment être, à même la perte et ses souffrances, pour ouvrir un passage, entre désir et peur, à de possibles métamorphoses.