couverture

Ce jour-là

Parce qu'elles étaient des femmes

Boileau, Josée

  • Éditeur : LA PRESSE
  • Collection : Essais
  • 257 pages
  • ISBN 9782897059316
  • Paru le 5 décembre 2019
  • 29,95 $ *
  • Études féministes

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

6 DÉCEMBRE 1989.Un homme vient d’assassiner 14 jeunes femmes – 12 étudiantes en ingénierie, une étudiante infirmière et une employée – dans l’enceinte de l’École polytechnique, en plus de blesser 14 autres personnes, avant de se suicider.Trente ans plus tard, « Ce jour-là — Parce qu’elles étaient des femmes » souhaite mettre en lumière les conséquences tirées de cette journée fatale. Quels sont les débats sociaux qui ont suivi et quelles ont été les retombées sur la place des femmes dans la société québécoise ? Mais il s’agit aussi d’un vibrant hommage aux victimes, souvent oubliées. Qui étaient-elles ? Que seraient-elles devenues ?

Quatrième de couverture

« Il aurait été impensable que ce livre n’existe pas. Il est essentiel parce qu’il situe le 6 décembre 1989 dans l’histoire et laisse une trace aux générations futures. Un moyen de transmettre le flambeau. Il rend hommage aux jeunes femmes qui ont porté et inspiré beaucoup de monde et qui, d’où elles sont, nous incitent à être les gardiens vigilants d’une présence forte des femmes dans la société. » — Catherine Bergeron (Présidente, Comité Mémoire)« Comment rendre l’effroi de la terrible nuit du 6 décembre 1989 ? Comment faire voir l’inimaginable ? […] Trente ans plus tard, il faut revoir la pente et faire le chemin inverse : la remonter. Pour se remémorer ce qui a été : la tuerie de ce soir-là, mais aussi le Québec de l’époque. Pour constater qu’une fois passés le traumatisme de la tragédie et ses déchirants lendemains, il y a eu des débats et des batailles nécessaires. Pour raviver ce qui n’est plus, mais qui aurait dû être, le vrai malheur en fait de Poly : 14 jeunes femmes remarquables qui sont tombées, coupées de leur vie, et le souvenir qu’une société privée d’elles a néanmoins sauvegardé. » — Josée Boileau