couverture

Morte (La)

Arsenault, Mathieu

  • Éditeur : QUARTANIER (LE)
  • Collection : Série QR
  • 144 pages
  • ISBN 9782896984794
  • Paru le 2 mars 2020
  • 19,95 $ *
  • Littérature québécoise

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Résumé

Ma meilleure amie, Vickie Gendreau, était écrivaine. Elle est morte d’une tumeur au cerveau, à l’âge de vingt-quatre ans, après m’avoir légué ses archives. Deux ans après sa mort, quelque chose a commencé à apparaître dans mes rêves. J’ai eu l’impression que cette chose m’appelait, qu’elle voulait que j’aille la chercher au royaume des morts pour la ramener dans la littérature, où elle se sentait chez elle. Mais je me suis aperçu que cette chose que j’ai cru entendre n’était pas tout à fait Vickie. Je l’ai appelée la morte. Ce livre est le récit spéculatif d’une expérience personnelle. Il explore le phénomène des fantômes depuis une perspective éthique, loin de la psychologie du deuil, et loin des traditions occultes, ésotériques et religieuses, dans lesquelles les fantômes sont maintenus de force. Il affirme la nécessité de trouver comment se mettre à l’écoute des morts qui parlent au plus profond de soi. Il tente de montrer que l’écriture est l’un des moyens d’y parvenir. — M. A.

Biographie de l'auteur.e

Mathieu Arsenault est l’auteur de plusieurs livres: La vie littéraire (Le Quartanier, 2014), Album de finissants (Triptyque, 2004) et Vu d’ici (Triptyque, 2008), tous deux adaptés au théâtre, et Le lyrisme à l’époque de son retour (Nota Bene, 2007). Il a aussi fondé l’Académie de la vie littéraire, qui remet chaque année des prix à ceux qui n’en auront pas ailleurs. Le guide des bars et pubs de Saguenay (Le Quartanier, 2016) est son livre le plus récent.

Quatrième de couverture

Ma meilleure amie, Vickie Gendreau, était écrivaine. Elle est morte d’une tumeur au cerveau, à l’âge de vingt-quatre ans, après m’avoir légué ses archives. Deux ans après sa mort, quelque chose a commencé à apparaître dans mes rêves. J’ai eu l’impression que cette chose m’appelait, qu’elle voulait que j’aille la chercher au royaume des morts pour la ramener dans la littérature, où elle se sentait chez elle. Mais je me suis aperçu que cette chose que j’ai cru entendre n’était pas tout à fait Vickie. Je l’ai appelée la morte. Ce livre est le récit spéculatif d’une expérience personnelle. Il explore le phénomène des fantômes depuis une perspective éthique, loin de la psychologie du deuil, et loin des traditions occultes, ésotériques et religieuses, dans lesquelles les fantômes sont maintenus de force. Il affirme la nécessité de trouver comment se mettre à l’écoute des morts qui parlent au plus profond de soi. Il tente de montrer que l’écriture est l’un des moyens d’y parvenir.— M. A.