couverture

Coups de dés

Michaels, Sean

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Les coups de dés se lit comme un roman d’aventure où Ocean’s 11 rencontrerait Robin des bois. Des comedy clubs à Taipei, du Mile-End au désert marocain, ce livre qui semble en contenir plusieurs insuffle tout naturellement du surnaturel à l’ordinaire. Dans cette oeuvre portée par une écriture évocatrice et un humour pince-sans-rire, Sean Michaels jette un regard unique sur notre foi en notre bonne étoile et sur nos tentatives pour contrôler l’incontrôlable.

Biographie de l'auteur.e

Né en 1982 à Stirling en Écosse, Sean Michaels a grandi à Ottawa, avant de s’établir à Montréal où il vit toujours. Il y a créé le blogue Said the Gramophone, l’un des plus influents à se consacrer à la musique. En tant que chroniqueur musical, il a collaboré avec de prestigieuses publications comme The Guardian et McSweeney’s. Son premier roman, Corps conducteurs, lui a valu le prix Banque Scotia Giller et le prix Paragraphe Hugh MacLennan et a été finaliste au Prix des libraires du Québec.

Quatrième de couverture

Fils d’épicier, gambler et humoriste du vendredi soir, Theo Potiris n’a jamais craint de remettre son sort entre les mains du hasard et de ses caprices. Mais en ce printemps montréalais où le destin le frappe durement, la chance paraît l’avoir abandonné. Fidèle à ce que lui a appris son père avant de mourir, Theo cherche alors à secouer la fatalité, à « entrer en duel avec les possibles » — sans se douter que certaines entités ont la capacité d’agir sur ce que les profanes appellent des « coïncidences ». Les coups de dés se lit comme un roman d’aventure où Ocean’s 11 rencontrerait Robin des bois . Des comedy clubs à Taipei, du Mile-End au désert marocain, ce livre qui semble en contenir plusieurs insuffle tout naturellement du surnaturel à l’ordinaire. Dans cette oeuvre portée par une écriture évocatrice et un humour pince-sans-rire, Sean Michaels jette un regard unique sur notre foi en notre bonne étoile et sur nos tentatives pour contrôler l’incontrôlable. Traduit de l'anglais par Catherine Leroux