couverture

UPA

Un monopole qui a fait son temps

Bouchard, Roméo

  • Éditeur : VLB ÉDITEUR
  • ISBN 9782896497744
  • Paru le 26 mars 2018
  • 24,95 $ *
  • Environnement

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Résumé

L'Union des producteurs agricoles est le plus gros lobby du Québec. Dans ce livre, Roméo Bouchard s'attaque de front à son statut de syndicat agricole unique et obligatoire, source de son influence démesurée sur un secteur d'activité économique vital et sur le quotidien de tous les Québécois. Le problème, outre le déficit démocratique du système, c'est que l'UPA a épousé dans les dernières décennies le modèle d'une agriculture productiviste mondialisée, celle des exploitations géantes, des grands intégrateurs et des multinationales comme Monsanto. Cette orientation a de lourdes conséquences sur l'occupation du territoire, sur l'environnement et sur l'alimentation et la santé de la population. Pour Roméo Bouchard, seule la sensibilisation des citoyens à cette réalité largement occultée - et leur mobilisation - permettront de diversifier notre paysage agricole. La fin du monopole syndical de l'UPA est selon lui une condition essentielle de la transition écologique du secteur, qui doit faire enfin une place à tous ceux et celles qui veulent cultiver la terre et élever des animaux autrement.

Biographie de l'auteur.e

Roméo Bouchard est le cofondateur de l'Union paysanne et l'un des premiers agriculteurs bio du Québec. Il est un militant de longue date pour la cause d'une agriculture diversifiée, respectueuse de l'environnement et qui assure l'autosuffisance alimentaire du Québec. Son préfacier, Jean Pronovost, est le président de l'Institut Jean-Garon et a présidé en 2008 la Commission sur l'avenir de l'agriculture et de l'agroalimentaire québécois.

Quatrième de couverture

L'Union des producteurs agricoles est le plus gros lobby du Québec. Dans ce livre, Roméo Bouchard s'attaque de front à son statut de syndicat agricole unique et obligatoire, source de son influence démesurée sur un secteur d'activité économique vital et sur le quotidien de tous les Québécois. Le problème, outre le déficit démocratique du système, c'est que l'UPA a épousé dans les dernières décennies le modèle d'une agriculture productiviste mondialisée, celle des exploitations géantes, des grands intégrateurs et des multinationales comme Monsanto. Cette orientation a de lourdes conséquences sur l'occupation du territoire, sur l'environnement et sur l'alimentation et la santé de la population. Pour Roméo Bouchard, seule la sensibilisation des citoyens à cette réalité largement occultée - et leur mobilisation - permettront de diversifier notre paysage agricole. La fin du monopole syndical de l'UPA est selon lui une condition essentielle de la transition écologique du secteur, qui doit faire enfin une place à tous ceux et celles qui veulent cultiver la terre et élever des animaux autrement.