* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
La Société des alcools du Québec est l'un des plus grands acheteurs institutionnels de vin et d'alcool du monde et, avec ses quelque 5 500 employés, elle est la 27e entreprise du Québec. Seul acteur sur un marché verrouillé par la loi, elle mène le bal en matière de prix et de choix des produits. Quels sont les avantages pour les clients de la SAQ ? Certainement pas des prix concurrentiels, une offre diversifiée ou une véritable mise en valeur des produits du terroir québécois. Quant à la gestion de la société d'État, elle apparaît pour le moins erratique. Pour Éric Duhaime, il est temps de remettre en question une situation réglementaire unique au monde dont la perpétuation semble échapper à toute logique. Il est loin d'être le seul à voir les choses ainsi : les entrepreneurs, les producteurs, les commerçants et, surtout, les consommateurs du Québec sont de plus en plus nombreux à vouloir faire sauter le bouchon de notre monopole national.
Avant d'entamer la carrière de chroniqueur qui l'a fait connaître du grand public, Éric Duhaime a été conseiller politique au fédéral et au provincial. Il est l'auteur des essais-choc L'État contre les jeunes (VLB éditeur, 2012) et Libérez-nous des syndicats ! (Genex, 2013).
La Société des alcools du Québec est l'un des plus grands acheteurs institutionnels de vin et d'alcool du monde et, avec ses quelque 5 500 employés, elle est la 27e entreprise du Québec. Seul acteur sur un marché verrouillé par la loi, elle mène le bal en matière de prix et de choix des produits. Quels sont les avantages pour les clients de la SAQ ? Certainement pas des prix concurrentiels, une offre diversifiée ou une véritable mise en valeur des produits du terroir québécois. Quant à la gestion de la société d'État, elle apparaît pour le moins erratique. Pour Éric Duhaime, il est temps de remettre en question une situation réglementaire unique au monde dont la perpétuation semble échapper à toute logique. Il est loin d'être le seul à voir les choses ainsi : les entrepreneurs, les producteurs, les commerçants et, surtout, les consommateurs du Québec sont de plus en plus nombreux à vouloir faire sauter le bouchon de notre monopole national.
