couverture

Notre disparition

Girard, Jean-Pierre

  • Éditeur : ÉCRITS DES FORGES
  • ISBN 9782896451968
  • Paru le 4 octobre 2011
  • 12,00 $ *
  • Poésie

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Résumé

Jean Pierre Girard présente Notre disparition comme une sorte de work in progress. Le recueil témoigne d’un moment dans l’évolution de textes d’abord conçus pour s’associer à une exposition de photographies d’Ève Cadieux, Côte à côte, puis ayant constitué la partie littéraire de l’exposition Œil pour dent, en France, au côté des œuvres du dessinateur français Benjamin Bozonnet.

Biographie de l'auteur.e

Romancier, nouvelliste et essayiste, Jean Pierre Girard est né au Québec en 1961. Auteur de chroniques de voyage et de cinq recueils de nouvelles, il préside le Collectif d’Écrivains de Lanaudière depuis sa fondation, le jury québécois du prix des Cinq Continents de la Francophonie, et il a mis sur pied Les Donneurs, une activité d’écriture publique. À l’été 2011, il a occupé le Studio du Québec à Bruxelles, afin d’y terminer Notre disparition, premier recueil de prose poétique, et y signer des Chroniques de riens.

Quatrième de couverture

Jean Pierre Girard présente Notre disparition comme une sorte de work in progress. Le recueil témoigne d’un moment dans l’évolution de textes d’abord conçus pour s’associer à une exposition de photographies d’Ève Cadieux, Côte à côte, puis ayant constitué la partie littéraire de l’exposition Œil pour dent, en France, au côté des œuvres du dessinateur français Benjamin Bozonnet. Quelques-unes de leurs œuvres illustrent le recueil. Ainsi : «Ce livre, ce recueil est le messager, le trait d’union [vers une] nouvelle facette de l’œuvre», indique Girard.Le recueil de prose poétique est constitué de deux parties dont la première reprend le titre. Il présente le récit intime d’un amour tel que narré par la voix d’une femme s’adressant à l’homme qu’elle aime. Je voudrais nous réparer, mon amour, affirmer notredemain, et je suis consciente du caractère cinglantde mon vœu, je suis une branche de saule, et immergéedans notre eau je déploie des tentacules qui sortentde moi, à ma grande surprise je pousse.La seconde partie de l’œuvre intitulée Elle, même, soutenue par un effet de mise en scène, poursuit la narration à travers d’autres voix qui approfondissent le thème du lien sentimental et filial : N’éprouvez-vous pas, tous deux, ce qu’il faut exactement de compassion, pour simplement accepter, et ensuite, simplement aimer, puis simplement disparaitre ?