couverture

Fous du volant (Les)

Thibault, Guy

  • Éditeur : GID
  • ISBN 9782896344291
  • 29,95 $ *

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Résumé

L'idée ayant mené à la rédaction de cet ouvrage a germé à la suite de la lecture d'un guide routier de 1926, l'Official Automobile Road Guide of Canada. Il offre une panoplie de trajets routiers permettant aux automobilistes de connaître ce qui les attend en fait de services, attractions et bien sûr de conditions routières. Entre autres, on y décrit un parcours de Saint-Faustin vers Saint-Jovite en mentionnant que la meilleure façon de trouver la route est de suivre les fils du téléphone. En 1926, le réseau routier était pourtant suffisamment établi, fort des améliorations apportées depuis une vingtaine d'années à la suite des récriminations des automobilistes impatients de rouler sur des routes carrossables. Mais quelles devaient donc être les conditions routières, vingt ans auparavant ? C'est ce que cet ouvrage fait revivre en suivant quelques pionniers, un peu fous, disons-le, qui ont osé utiliser leur automobile au tournant du siècle dernier. À travers quelques récits historiques d

Biographie de l'auteur.e

L'auteur, Guy Thibault, a écrit deux précédents livres, L'Immatriculation au Québec, en 2005, puis L'Automobilisme et ses témoins, en 2011, également parus aux Éditions GID. Le premier nous apprenait comment les autorités en place en sont venues à obliger tous les véhicules automobiles à s'enregistrer auprès du gouvernement provincial. Le deuxième illustrait quelques-unes des traces du passage de l'automobile dans nos vies. Cette fois, nous serons témoins de ce que vivaient les aventureux pionniers de l'automobilisme et peut-être souffrirons-nous un peu avec eux.

Quatrième de couverture

L'idée ayant mené à la rédaction de cet ouvrage a germé à la suite de la lecture d'un guide routier de 1926, lequel couvrait les provinces de l'Ontario et du Québec. Les 808 pages de l'Official Automobile Road Guide of Canada offraient une panoplie de trajets routiers permettant aux automobilistes de connaitre ce qui les attendait en fait de services, attractions et bien sûr de conditions routières. En page 607 de ce guide, où on décrivait un parcours de Saint-Faustin vers Saint-Jovite, on pouvait lire que : « go under railway, concrete arch, Morisson Station on right beyond, keep left with wires, follow phones wires ». Plutôt renversant. On nous avise, le plus sérieusement du monde, que la meilleure façon de trouver la route entre Saint-Faustin et Saint-Jovite est de suivre les fils du téléphone. En 1926, le réseau routier était pourtant suffisamment établi, fort des améliorations apportées depuis une vingtaine d'années à la suite des récriminations des automobilistes impatients de rouler enfin sur des routes carrossables. Mais quelles devaient donc être les conditions routières, vingt ans auparavant ? C'est ce que nous vivrons avec quelques pionniers, un peu fous, disons-le, qui ont osé utiliser leur automobile au tournant du siècle dernier. À travers quelques récits historiques d'ici et d'ailleurs et agrémentés de nombreuses photos d'époque, nous serons témoins de ce qu'ils durent affronter.