couverture

Deuxième période, 1973-2019, sport et politique

«Pour l'indépendance du Québec, je misais sur le hockey et les Nordiques»

Bertrand, Guy

  • Éditeur : GID
  • ISBN 9782896344260
  • 39,95 $ *

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Résumé

Dans ce deuxième tome de sa biographie, Me Guy Bertand dévoile les stratégies qu'il a utilisées pour convaincre ses compatriotes qu'en passant par le hockey et les Nordiques, on pouvait arriver à faire l'indépendance du Québec. Il explique ses combats pour que les Nordiques deviennent les meilleurs ambassadeurs du Québec français en Amérique du Nord. À partir de 1973, il est l'avocat et l'agent de plusieurs joueurs des Nordiques de Québec. En 1975, il lance le projet d'une équipe nationale de hockey qui visait à permettre aux Québécois de participer aux Jeux olympiques et aux tournois internationaux sous les couleurs du fleurdelisé. Il relate comment il s'y est pris, en 1979, pour convaincre le gouvernement de René Lévesque de financier l'agrandissement du Colisée. Lors du référendum de 1980, René Lévesque fait appel à Me Bertrand pour convaincre plusieurs athlètes de se prononcer en faveur du OUI.

Biographie de l'auteur.e

Avocat, libre-penseur, auteur et activiste politique, Me Guy Bertrand pratique le droit depuis plus de 56 ans. Il a lutté toute sa vie et avec une passion hors du commun pour que le Québec devienne autre chose qu'un pays inachevé. La multiplicité de ses actions juridiques et politiques, souvent spectaculaires, feront de lui un homme à abattre, particulièrement dans les milieux judiciaire et politique. Il réalisera pourquoi son père lui avait dit : « Tu seras toujours un mal aimé, mon fils. » À partir de 1973, il est le conseiller, l'avocat et l'agent de plusieurs athlètes professionnels, dont Réal Cloutier, Michel Goulet et Pierre Lacroix des Nordiques de Québec. En 1975, il lance le projet d'une équipe nationale de hockey (Équipe-Québec) qui visait à permettre aux Québécois de participer aux Jeux olympiques et aux tournois internationaux sous les couleurs du fleurdelisé. En 1980 et en 2006, il relance sans succès ce projet qu'il qualifiera d'affaire politique. Il écrit : « Après avoir échoué au troisième essai, j'ai réalisé qu'il n'y avait rien à faire avec ce projet tant que le pays québécois ne serait pas parachevé (indépendance du Québec). C'est alors que nous pourrons enfin jouer dans la cour des grands au hockey international. Pour le moment nous devons demeurer des seconds, des minoritaires, des sans-pouvoirs et des faire-valoir de la majorité Canadian. »

Quatrième de couverture

Avocat, libre-penseur, auteur et activiste politique, Me Guy Bertrand pratique le droit depuis plus de 56 ans. Il a lutté toute sa vie et avec une passion hors du commun pour que le pays québécois devienne autre chose qu'un pays inachevé.Dans ce deuxième tome de sa biographie, il dévoile avec beaucoup de détails toutes les stratégies qu'il a utilisées pour convaincre ses compatriotes qu'en passant par le sport, le hockey et les Nordiques, on pouvait arriver à faire l'indépendance du Québec.Il explique tous les combats qu'il a livrés, avec la complicité de Me Marcel Aubut, pour que les Nordiques deviennent les meilleurs ambassadeurs du Québec français en Amérique du Nord. Qu'on pense au fleurdelisé sur le chandail des Nordiques, aux contrats en français dans la LNH, à la suppression du bilinguisme colonial au Colisée pour lui substituer le français comme seule langue officielle tant pour le Ô Canada que pour les annonces.Dès 1973, il a été le conseiller, l'avocat et l'agent de plusieurs athlètes professionnels, dont Réal Cloutier, Michel Goulet et Pierre Lacroix des Nordiques de Québec. En 1975, il a lancé le projet d'une équipe nationale de hockey (Équipe-Québec) qui visait à permettre aux Québécois de participer aux Jeux olympiques et aux tournois internationaux sous les couleurs du fleurdelisé. En 1980 et en 2006, il a relancé sans succès ce projet qu'il qualifiera d'affaire politique. Il écrit : « Après avoir échoué au troisième essai, j'ai réalisé qu'il n'y avait rien à faire avec ce projet tant que le pays québécois ne serait pas parachevé (indépendance du Québec). C'est alors que nous pourrons enfin jouer dans la cour des grands au hockey international. Pour le moment nous devons demeurer des seconds, des minoritaires, des sans-pouvoirs et des faire-valoir de la majorité Canadian. »Il relate comment il s'y est pris, en 1979, à la demande de Me Aubut, pour convaincre le gouvernement de René Lévesque de se commettre financièrement dans l'agrandissement du Colisée afin d'augmenter le nombre de sièges à 15 000. Il s'agissait là d'une condition essentielle pour que les Nordiques obtiennent une franchise dans la Ligue nationale de hockey.Lors du référendum de 1980, c'est au tour de René Lévesque de faire appel à Me Bertrand pour convaincre plusieurs athlètes amateurs et professionnels à se prononcer ouvertement en faveur du OUI.D'ailleurs, Me Bertrand dira comment le Gouvernement du Québec a commis une erreur impardonnable en 1995 en laissant partir les Nordiques pour le Colorado.