couverture

Monstres intérieurs (Les)

Côté, Héloïse

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Deux ans après que Thad et Deirdra ont réussi à pacifier les seigneuries du nord, l’Austrion, dorénavant dirigée par Thad et ses hommes, coule enfin des jours paisibles. Et c’est d’autant plus vrai que, pour une raison inconnue, les dragons ont déserté le continent – pas une attaque rapportée depuis plusieurs mois !Pour Deirdra, le désœuvrement causé par cette disparition et sa rupture avec Thad – elle l’a surpris dans les bras d’une autre ! – l’ont fait plonger dans un profond désespoir. Ne trouvant plus de sens à son existence, elle s’est inexorablement enfoncée dans une vie de débauche en compagnie des autres tueurs de dragons qui écument les tavernes de Nobudeg, un village nordir à la triste réputation.Mais voici qu’Ul-Karim II, roi du Meridion, le continent situé de l’autre côté de la mer de Balas et ennemi ancestral de l’Austrion, demande l’aide des seigneurs du nord. De fait, c’est son royaume qui est maintenant dévasté par les terribles monstres. Espérant profiter de la situation pour établir une paix durable avec son voisin du sud, Thad accepte de se rendre en personne à Ul-Tear, capitale du Meridion. Et il obligera Deirdra à l’y accompagner, car, malgré leur relation plus que difficile, elle demeure la plus célèbre – et la plus brillante – tueuse de dragons !

Biographie de l'auteur.e

Héloïse Côté a commencé très tôt à écrire des histoires nourries par sa passion pour la mythologie, les contes et les légendes. Entre 2004 et 2006, elle publie chez Alire sa première trilogie de fantasy, « Les Chroniques de l’Hudres », pour ensuite rédiger Les Exilés (2008) et La Tueuse de dragons (2010), qui rem­portera les prix Jacques-Brossard et Aurora/Boréal 2011. Tout en travaillant sur les premières versions de la trilogie « Les Voyageurs », elle obtient une maî­trise et un doctorat en fondements de l’éducation de l’Uni­versité Laval, effectue un stage postdoctoral au Centre de recherche en éthique de l’Université de Montréal (CRÉUM) et écrit de nombreux articles scientifiques et professionnels, ainsi que Langue et culture dans la classe de français. Une analyse de discours, en collaboration avec Denis Simard (Presses de l’Université Laval, 2007).  En 2006, l’Association des diplômé(e)s de l’Uni­versité Laval lui décerne la Médaille Raymond-Blais, qui souligne le mérite d’une jeune diplômée (moins de 35 ans) s’étant illustrée de façon remarquable dans sa carrière naissante.  Depuis 2010, elle partage son temps entre l’écriture et l’enseignement à la Faculté des sciences de l’éducation et à l’École de langues de l’Université Laval.