couverture

Voyageurs, tome 3 : La voix de la lumière (Les)

Côté, Héloïse

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Résumé

La guerre qui oppose les Ombres à la Lumière s’est transportée en Exadelsar, le monde en ruine où les Bannis ont été exilés, et l’affrontement final est sur le point de survenir.Du côté des Ténèbres, il y a Anedaran, « Celui-qui-veut-savoir », à l'origine de la Grande Explosion, trois millénaires et demi plus tôt. Son objectif, en manipulant les Ombres, n’est pas d’anéantir le peuple de Lumière, mais bien tout l’univers ! Or, pour arriver à ses fins, il doit s’extraire du corps agonisant de l’Am-Mê Maurision, dont il est prisonnier, pour se réincarner dans le fils à naître de Maris. Du côté de la Lumière, il y a Neros, « Celle-qui-rassemble », mais aussi le jeune Licien, Timar, Enan et Maris, sans oublier Taupheran, « Celui-qui-est-Ombre-et-Lumière ». Cependant, comme Neros est hors de combat, prisonnière de son enveloppe charnelle investie par l’Entité-Lumière, la bataille semble perdue d’avance, d’autant plus qu’il y a manifestement un traître au cœur du peuple de Lumière !La Voix de la Lumière : l’étonnante conclusion d’une grandiose trilogie de science-fantasy, celle des « VOYAGEURS ».

Biographie de l'auteur.e

Héloïse Côté a commencé très tôt à écrire des histoires nourries par sa passion pour la mythologie, les contes et les légendes. Entre 2004 et 2006, elle publie chez Alire sa première trilogie de fantasy, « Les Chroniques de l’Hudres », pour ensuite rédiger Les Exilés (2008) et La Tueuse de dragons (2010), qui rem­portera les prix Jacques-Brossard et Aurora/Boréal 2011. Tout en travaillant sur les premières versions de la trilogie « Les Voyageurs », elle obtient une maî­trise et un doctorat en fondements de l’éducation de l’Uni­versité Laval, effectue un stage postdoctoral au Centre de recherche en éthique de l’Université de Montréal (CRÉUM) et écrit de nombreux articles scientifiques et professionnels, ainsi que Langue et culture dans la classe de français. Une analyse de discours, en collaboration avec Denis Simard (Presses de l’Université Laval, 2007).  En 2006, l’Association des diplômé(e)s de l’Uni­versité Laval lui décerne la Médaille Raymond-Blais, qui souligne le mérite d’une jeune diplômée (moins de 35 ans) s’étant illustrée de façon remarquable dans sa carrière naissante.  Depuis 2010, elle partage son temps entre l’écriture et l’enseignement à la Faculté des sciences de l’éducation et à l’École de langues de l’Université Laval.