couverture

Gestionnaires de l'apocalypse, tome 2 : L'argent du monde (Les)

Pelletier, Jean-Jacques

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Résumé

Pour l’inspecteur Théberge, tout débute avec la découverte, dans la voiture d’un gestionnaire, du corps totalement exsangue d’une danseuse de club. Or, quelque temps plus tard, le milieu financier de Montréal est secoué par les décès – mort suspecte, suicide, assassinat – de plusieurs gestionnaires et par la « disparition » de 750 millions de dollars des coffres de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Y aurait-il un lien entre tous ces événements ? se demande l’inspecteur. Et qui donc aurait intérêt à faire croire qu’un vampire hante les rues de Montréal ?Pour F, la directrice de l’Institut, tout indique que le Consortium cherche à implanter au Québec une colossale machine à blanchir de l’argent. Patiemment, avec l’aide de Blunt, de Hurt, des Jones et de Chamane – un jeune hacker –, elle poursuit le travail d’analyse et d’enquête. Pour réussir à contrer encore une fois le Consortium, dont les moyens et les ramifications semblent sans limites, l’Institut devra s’engager dans une nouvelle et très inégale lutte…L’Argent du monde : un voyage hallucinant dans l’univers des fraudes financières et de la manipulation des individus.

Biographie de l'auteur.e

Jean-Jacques Pelletier a enseigné la philosophie pendant plusieurs années au cégep Lévis-Lauzon. Il siège toujours sur de nombreux comités de retraite et de placement.Écrivain aux horizons multiples, le thriller est pour lui un moyen d’intégrer de façon créative l’étonnante diversité de ses centres d’intérêt : mondialisation des mafias et de l’économie, histoire de l’art, gestion financière, zen, guerres informatiques, techniques de manipulation des individus, chamanisme, évolution des médias, progrès scientifiques, troubles de la personnalité, stratégies géopolitiques…Depuis L’Homme trafiqué jusqu’à La Faim de la Terre, dernier volet des « Gestionnaires de l’apocalypse », et des Visages de l’humanité jusqu’à On tue…, c’est un véritable univers qui se met en place. Dans l’ensemble de ses romans, sous le couvert d’intrigues complexes et troublantes, on retrouve un même regard ironique, une même interrogation sur les enjeux fondamentaux qui agitent notre société.