couverture

Perdre la maison

Essai sur l'art et le deuil de l'espace habité

Sugàr, Anouk

  • Éditeur : VARIA (QUÉBEC)
  • Collection : Art
  • ISBN 9782896061563
  • Paru le 2 mars 2020
  • 23,95 $ *
  • Essais

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Résumé

Perdre la maison, la laisser derrière, de force ou par choix, c'est bien plus que quitter une coque faite de béton, de bois ou autres matériaux de construction. Cette maison, nous l'avons investie de nos gestes quotidiens, de nos pensées et de nos souvenirs. Nous l'avons modelée à notre image, selon nos goûts et nos besoins. En retour, la maison nous a conféré abri et sécurité, procurant confort et chaleur, non seulement pour le corps, mais aussi pour l'esprit. Que se passe-t-il dès lors qu'elle est perdue ou quittée ? Cet essai - qui mélange habilement art, architecture, psychanalyse et philosophie - met en scène le deuil du réceptacle de vie qui n'est plus, tout comme cela se fait pour un défunt, puisque la maison est en quelque sorte le double de notre corps. Nécessaire et fascinant temps de transition, afin que puisse s'opérer l'investissement d'un lieu nouveau.

Biographie de l'auteur.e

Anouk SUGÀR détient un baccalauréat en arts visuels et une maîtrise en sociologie. Elle combine pratique artistique et écriture dans son travail de créatrice. Elle s'est longuement intéressée à la façon dont l'espace est habité et investi et a développé plusieurs propositions spatiales et réflexions quant à la façon dont il est aménagé. Elle enseigne le collage et a notamment exposé ses oeuvres au Canada et à l'étranger.

Quatrième de couverture

Perdre la maison, la laisser derrière, de force ou par choix, c'est bien plus que quitter une coque faite de béton, de bois ou autres matériaux de construction. Cette maison, nous l'avons investie de nos gestes quotidiens, de nos pensées et de nos souvenirs. Nous l'avons modelée à notre image, selon nos goûts et nos besoins. En retour, la maison nous a conféré abri et sécurité, procurant confort et chaleur, non seulement pour le corps, mais aussi pour l'esprit. Que se passe-t-il dès lors qu'elle est perdue ou quittée ? Cet essai - qui mélange habilement art, architecture, psychanalyse et philosophie - met en scène le deuil du réceptacle de vie qui n'est plus, tout comme cela se fait pour un défunt, puisque la maison est en quelque sorte le double de notre corps. Nécessaire et fascinant temps de transition, afin que puisse s'opérer l'investissement d'un lieu nouveau.