couverture

Libéraux n'aiment pas les femmes (Les)

Essai sur l'austérité

Lanctôt, Aurélie

  • Éditeur : LUX
  • Collection : Lettres libres
  • 128 pages
  • ISBN 9782895962090
  • Paru le 6 octobre 2015
  • 14,95 $ *
  • Études féministes

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Résumé

«Les libéraux n’aiment pas les femmes.» Voilà une proposition qui fait sourciller : les libéraux disputeraient donc aux conservateurs l’éminent privilège de s’attaquer aux droits et libertés des femmes ? C’est là le dur constat de ce petit livre. En s’en prenant à la santé publique, à l’éducation, aux garderies et aux groupes communautaires, les politiques d’austérité du gouvernement Couillard frappent les femmes plus durement que quiconque.Si les libéraux n’aiment pas les femmes, c’est parce qu’ils gouvernent par et pour les nombres. Les « vraies affaires » – l’atteinte du déficit zéro en tête – relèvent d’une logique purement « économique ». Quantitative, implacable, elle est imposée sans haine ni mépris. Le sort que l’austérité réserve aux femmes s’explique par cette odieuse indifférence qui, ultimement, fera ployer l’ensemble de la population.

Biographie de l'auteur.e

Aurélie Lanctôt est étudiante en droit à l’Université McGill et diplômée en communication de l’UQAM. S’intéressant aux enjeux féministes, elle anime un blogue sur le site du journal en ligne Ricochet. Elle collabore à la Gazette des femmes ainsi qu’à l'émission Médium Large sur Ici Radio-Canada Première.

Quatrième de couverture

«Les libéraux n’aiment pas les femmes.» Voilà une proposition qui fait sourciller : les libéraux disputeraient donc aux conservateurs l’éminent privilège de s’attaquer aux droits et libertés des femmes ? C’est là le dur constat de ce petit livre. En s’en prenant à la santé publique, à l’éducation, aux garderies et aux groupes communautaires, les politiques d’austérité du gouvernement Couillard frappent les femmes plus durement que quiconque.Si les libéraux n’aiment pas les femmes, c’est parce qu’ils gouvernent par et pour les nombres. Les « vraies affaires » – l’atteinte du déficit zéro en tête – relèvent d’une logique purement « économique ». Quantitative, implacable, elle est imposée sans haine ni mépris. Le sort que l’austérité réserve aux femmes s’explique par cette odieuse indifférence qui, ultimement, fera ployer l’ensemble de la population.