couverture

Amélanchier (L')

Ferron, Jacques

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Résumé

Léon de Portanqueu, esquire, a partagé le monde en deux : d'un côté, le sous-bois où fleurit chaque année l'amélanchier, se transformant l'espace d'une courte saison en feu d'artifice ; et de l'autre, le monstrueux boulevard et ses gratte-ciels. Sa fille Tinamer, avant de traverser «du mauvais côté des choses», croisera, entre autres, Maître Petroni, soi-disant propriétaire des lieux, Monsieur Northrop, qui fut autrefois lapin, et Coco, l'éternel enfant prisonnier du Mont-Thabor. C'est du haut de ses vingt ans qu'elle retourne sur cette période bénie où l'innocence donnait à toute chose sa magie.

Biographie de l'auteur.e

Né à Louiseville, au Québec, en 1921, et mort en 1985, Jacques Ferron est un auteur inclassable et prolifique. Ce dramaturge, conteur, romancier, critique littéraire, également médecin de profession, a une verve fantaisiste et mordante. Son oeuvre brosse un portrait réaliste mêlé d'humour et de fantastique du « pays québécois ». Il a reçu plusieurs prix dont le Prix du Gouverneur général du Canada en 1962 pour ses Contes du pays incertain et le prix Athanase-David en 1977 pour l'ensemble de son oeuvre.

Quatrième de couverture

Léon de Portanqueu, esquire, a partagé le monde en deux : d'un côté, le sous-bois où fleurit chaque année l'amélanchier, se transformant l'espace d'une courte saison en feu d'artifice ; et de l'autre, le monstrueux boulevard et ses gratte-ciels. Sa fille Tinamer, avant de traverser «du mauvais côté des choses», croisera, entre autres, Maître Petroni, soi-disant propriétaire des lieux, Monsieur Northrop, qui fut autrefois lapin, et Coco, l'éternel enfant prisonnier du Mont-Thabor. C'est du haut de ses vingt ans qu'elle retourne sur cette période bénie où l'innocence donnait à toute chose sa magie. Cette édition de L'amélanchier s'accompagne d'une nouvelle préface de Jean Marcel et d'un appareil critique mis à jour. « Devant cette œuvre, je me sens envoûté comme devant quelque objet, disons, sacré... Qu'est-ce qu'un chef-d'oeuvre ? La question est oiseuse. En tout cas, c'en était un, à mon idée première et qui n'a pas changé. » PIERRE VADEBONCOEUR