couverture

Saint-Élias (Le)

Ferron, Jacques

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Résumé

Le Saint-Élias est le livre de l'extrême détresse devant la vie menacée, humiliée, sacrifiée, celui de l'extrême tendresse aussi qui, pour tenir en respect le cynisme et le désespoir, s'obstine, malgré l'intolérable, à laisser «ce pauvre petit homme», à «la fille de tous les hommes», pour la continuité, quelques signes de beauté. [...] L'écriture, prenant sur elle le tragique, garde ouvert un espace de liberté où il soit possible d'intervenir contre l'intolérable. C'est, je crois, parce qu'il y maintient cette sorte d'équilibre tendu et toujours menacé du gratuit et du nécessaire que Ferron livre avec Le Saint-Élias l'un de ses plus beaux et graves textes, qui évoquera toujours pour moi le chant troublant de la cigale au fugitif apex de l'été. - Pierre L'Hérault (extrait de la préface)

Biographie de l'auteur.e

Né à Louiseville, au Québec, en 1921, et mort en 1985, Jacques Ferron est un auteur inclassable et prolifique. Ce dramaturge, conteur, romancier, critique littéraire, également médecin de profession, a une verve fantaisiste et mordante. Son oeuvre brosse un portrait réaliste mêlé d'humour et de fantastique du « pays québécois ». Il a reçu plusieurs prix dont le Prix du Gouverneur général du Canada en 1962 pour ses Contes du pays incertain et le prix Athanase-David en 1977 pour l'ensemble de son oeuvre.

Quatrième de couverture

Le Saint-Élias est le livre de l'extrême détresse devant la vie menacée, humiliée, sacrifiée, celui de l'extrême tendresse aussi qui, pour tenir en respect le cynisme et le désespoir, s'obstine, malgré l'intolérable, à laisser «ce pauvre petit homme», à «la fille de tous les hommes», pour la continuité, quelques signes de beauté. [...] L'écriture, prenant sur elle le tragique, garde ouvert un espace de liberté où il soit possible d'intervenir contre l'intolérable. C'est, je crois, parce qu'il y maintient cette sorte d'équilibre tendu et toujours menacé du gratuit et du nécessaire que Ferron livre avec Le Saint-Élias l'un de ses plus beaux et graves textes, qui évoquera toujours pour moi le chant troublant de la cigale au fugitif apex de l'été. - Pierre L'Hérault (extrait de la préface)