couverture

Mots de désordre (Les)

Édition commentée des éditoriaux de La Vie en Rose (1980-1987)

Bergeron, Marie-Andrée

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Résumé

Libre et insolent, le magazine féministe La Vie en rose couvrira une bonne partie de la décennie 1980, de l'échec du premier référendum à la réélection de Robert Bourassa, en passant par la visite du pape Jean-Paul II au Québec et l'élection de Reagan. Les mots de désordre rassemble les cinquante éditoriaux du magazine, qui passent au crible une foule de sujets, parmi lesquels l'avortement, la pornographie, les rapports hommes-femmes, écorchant souvent au passage les figures dominantes de l'actualité culturelle et politique.

Biographie de l'auteur.e

Marie-Andrée Bergeron est doctorante en études littéraires à l'Université Laval et est membre du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). Ses recherches actuelles concernent la presse des féministes au Québec.

Quatrième de couverture

« Quand Sylvie Dupont évoque en mars 1980, dans le premier édito, un "projet dérisoire" sans grand mandat politique ni grands moyens, elle exprime l'immense liberté que nous sentons de dire ce que nous voulons. » Françoise Guénette, extrait de la postface Libre et insolent, le magazine féministe La Vie en rose couvrira une bonne partie de la décennie 1980, de l'échec du premier référendum à la réélection de Robert Bourassa, en passant par la visite du pape Jean-Paul II au Québec et l'élection de Reagan. Les mots de désordre rassemble les cinquante éditoriaux du magazine, qui passent au crible une foule de sujets, parmi lesquels l'avortement, la pornographie, les rapports hommes-femmes, écorchant souvent au passage les figures dominantes de l'actualité culturelle et politique. Les mots de désordre atteste d'un féminisme qui ne s'étiole pas dans une mémoire silencieuse ; il se veut un pont - un dialogue nécessaire - entre les féministes de toutes les générations, une célébration de la presse libre, d'une parole publique que l'on souhaite plus que jamais audacieuse et sans contrainte. Marie-Andrée Bergeron est doctorante en études littéraires à l'Université Laval et est membre du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). Ses recherches actuelles concernent la presse des féministes au Québec.