couverture

Poppy

Élie, Jérôme

  • Éditeur : PLEINE LUNE (DE LA)
  • Collection : Plume
  • 68 pages
  • ISBN 9782890244511
  • Paru le 19 octobre 2015
  • 17,95 $ *
  • Littérature québécoise

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Résumé

Poppy, mot anglais qui signifie en français : pavot, coquelicot, fait référence à l’opium et à son pouvoir hallucinogène. Poppy aussi, comme dans pop, papa.M. Keller, un entomologiste de renom se rend aux urgences : la plaie sur sa jambe s’est aggravée. Son histoire, révélée à petites doses par les différents protagonistes, est racontée avec réalisme, mais Jérôme Élie nous entraîne subtilement ailleurs, au-delà des événements, de « l'ordre des choses », dans un univers où la réalité se fissure, un monde où les repères habituels s’effacent. Les expériences vécues dans les rêves viennent alors ébranler ce que notre raison tient pour vrai. Où est la réalité? Qui peut prétendre la cerner avec certitude et exactitude?

Biographie de l'auteur.e

Les romans de Jérôme Élie nous entraînent dans un univers à la fois fabuleux et fantastique, un monde des limites où tout n'est que vertige et illusion, au-delà de l'apparente vérité.Dès son premier livre, paru en 1994 sous le titre audacieux de Dieu en personne, la critique n'a pas manqué de saluer le grand talent de Jérôme Élie :« œuvre originale, fascinante », écrivait Réginald Martel dans La Presse. Jacques Allard ajoutait dans Le Devoir : « Jérôme Élie impressionne par la hauteur de son ambition. »En 1996, lors de la parution de La Morte du pont de Varole, Réginald Martel déclarait : « Jérôme Élie nous monte un bateau dont la figure de proue a l'inquiétante beauté du diable. »« L'Homme qui pesait plus lourd nu qu'habillé, [paru en 1999] serait donc également un roman carnavalesque, une farce au second degré où surgit de loin en loin une critique acerbe du monde contemporain, où sont moqués la publicité et ces personnages publics, si friands des micros et des caméras. [...] C'est une superbe interrogation de notre rapport à la connaissance, à la réalité », écrivait Robert Chartrand dans Le Devoir.