couverture

Tempête sous un crâne : l'Amérique en guerre, de l'Irak au Liban, 2003-2006

Fumaroli, Sébastien

  • Éditeur : Ed. de Fallois
  • ISBN 9782877066150
  • Paru le 9 février 2007
  • 34,95 $ *
  • Sciences sociales

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Résumé

Ce document, s'appuyant sur le témoignage d'intellectuels américains et étrangers, professeurs, éditorialistes, diplomates..., présente les débats et controverses suscités dans l'entourage du pouvoir à Washington par les choix politiques mis en oeuvre par l'administration Bush au lendemain du 11 septembre 2001, notamment en s'engageant dans un conflit au Moyen Orient.

Quatrième de couverture

La stratégie des faucons néo-conservateurs américains a échoué au Moyen-Orient. Trente ans après la guerre du Vietnam, les États-Unis sont obligés de considérer la possibilité d'un retrait de leurs troupes de l'Irak, qui sera bien plus humiliant pour eux que la chute de Saigon en 1975.. Comment l'Amérique en est-elle arrivée là ?. Tempête sous un crâne est un document d'actualité qui révèle au public français les débats et controverses suscités dans l'entourage du pouvoir à Washington par les choix politiques mis en oeuvre par l'administration Bush au lendemain de la tragédie du 11 Septembre. En tout, plus d'une quinzaine de personnalités, professeurs, éditorialistes, diplomates, conseillers de la Maison Blanche, ont apporté à l'auteur leurs témoignages exclusifs.. Sont conviés à cette réflexion sur l'Amérique en guerre, par ordre d'apparition : Jeremy Rabkin, Avis Bohlen, Hillel Fradkin, Anne-Marie Slaughter, Stanley Hoffmann, Joseph Nye, Leon Wieseltier, Samantha Power, John Mearsheimer, Samuel Huntington, Bill Kristol, et Robert Dujarric, mais aussi l'Anglais Tony Judt, le Hollandais Frits Bolkestein et le Français René Girard.. Leur dialogue, dont les fils s'entrecroisent et se poursuivent pendant trois ans, au fur et à mesure que s'approche de la Maison Blanche l'orage irakien, nous plonge dans un drame politique haletant, parfois drôle, souvent cruel, qui n'épargne ni l'Europe ni la France, de l'euphorie de la victoire du «camp de la guerre» à la répudiation de Bush aux élections du Congrès le 7 novembre 2006..