couverture

Fantômes de la Sierra Maestra (Les)

Ohl, Paul E.

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Résumé

1949. Fidel Castro, un étudiant en droit, est dans la mire de la CIA et du FBI. Un danger pour les États-Unis, prétend-on. Meyer Lansky, un dirigeant de la mafia, règne sur l'empire du vice à La Havane. À des milliers de kilomètres de là, Ernesto Guevara, un jeune Argentin, étudiant en médecine, a épuisé une première vie dans sa lutte contre l'asthme. Il se jure que son autre vie servira à changer le monde. Cette même année, Jean-Paul Sartre, un philosophe français obsédé par le racisme, met les pieds à Cuba pour la première fois. On lui a raconté que les fantômes des combattants d'une autre époque hantent les hauteurs de la Sierra Maestra et que nul dictateur ne parviendra à les réduire au silence. À la fin de juillet, Ernest Hemingway, le célèbre écrivain américain, fête ses cinquante ans à La Floridita, le bar le plus couru de La Havane. Entre deux daiquiris, il dit qu'il ne donnera pas sa vie pour Cuba, mais que c'est grâce à Cuba s'il est encore en vie. C'est dans l'île de Cuba, un point minuscule sur la carte du monde, tenu par tous les aventuriers, trafiquants, mercenaires, mafiosi et autres démons pour être un paradis perdu sous les étoiles, que s'amorce le compte à rebours d'une révolution qui va marquer le XXe siècle. Une oeuvre immense, un récit fabuleux : le roman de toute une vie.

Biographie de l'auteur.e

Depuis plus de trente ans, Paul Ohl occupe une place enviable dans le paysage littéraire québécois. Il est l'auteur de treize ouvrages chaudement salués tant par la critique que par le public. Il a notamment été cinq fois finaliste au Grand Prix du public du Salon du livre de Montréal, le remportant en 1992 avec Soleil noir, en plus d'étendre son lectorat au public français (avec Soleil noir, Black et L'Enfant dragon). Paul Ohl a aussi scénarisé des films à succès, dont Highlander et Le Dernier Tunnel.

Quatrième de couverture

1949. Fidel Castro, un étudiant en droit, est dans la mire de la CIA et du FBI. Un danger pour les États-Unis, prétend-on. Meyer Lansky, un dirigeant de la mafia, règne sur l'empire du vice à La Havane. À des milliers de kilomètres de là, Ernesto Guevara, un jeune Argentin, étudiant en médecine, a épuisé une première vie dans sa lutte contre l'asthme. Il se jure que son autre vie servira à changer le monde. Cette même année, Jean-Paul Sartre, un philosophe français obsédé par le racisme, met les pieds à Cuba pour la première fois. On lui a raconté que les fantômes des combattants d'une autre époque hantent les hauteurs de la Sierra Maestra et que nul dictateur ne parviendra à les réduire au silence. À la fin de juillet, Ernest Hemingway, le célèbre écrivain américain, fête ses cinquante ans à La Floridita, le bar le plus couru de La Havane. Entre deux daiquiris, il dit qu'il ne donnera pas sa vie pour Cuba, mais que c'est grâce à Cuba s'il est encore en vie. C'est dans l'île de Cuba, un point minuscule sur la carte du monde, tenu par tous les aventuriers, trafiquants, mercenaires, mafiosi et autres démons pour être un paradis perdu sous les étoiles, que s'amorce le compte à rebours d'une révolution qui va marquer le XXe siècle. Une oeuvre immense, un récit fabuleux : le roman de toute une vie.