couverture

Palais de la fatigue (Le)

Delisle, Michael

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Un garçon et son frère habitant la banlieue adoptent un ours à la patte coupée. Un jeune homme qui rêve de poésie fait son entrée dans les cercles littéraires guidé par son mentor. Un homme d’âge mûr va camper avec son frère et son neveu et raconte à ce dernier l’histoire de leurs ancêtres gallois. Un écrivain est bouleversé de voir un de ses amis, photographe de grand talent, tout simplement décider de mettre un termeà son oeuvre.Comment naissent les récits ? Comment se transmettent-ils au sein de la famille, de la fratrie ? Comment modèlent-ils nos vies, souvent à notre insu ? Pourquoi décide-t-on un jour de les écrire pour que des étrangers les lisent ? Pourquoi pourrait-on également un jour décider de se taire et de les garder pour soi ? «Voir un homme abandonner son oeuvre me fait de la peine. C’est pour ça que je persiste, même si le terme se dessine. Mon ami Jogues a achevé sa carrière pour ne pas se taper son agonie. Cette superbe m’est étrangère. Je travaille avec une ambition de plus en plus élémentaire. J’écris pour voir à quoi la vie ressemble, une fois écrite.»

Biographie de l'auteur.e

Michael Delisle est poète, romancier et nouvelliste. Il est lauréat du prix Émile-Nelligan (Fontainebleau, 1987) et du prix Adrienne-Choquette (Le Sort de fille, 2005).

Quatrième de couverture

Un garçon et son frère habitant la banlieue adoptent un ours à la patte coupée. Un jeune homme qui rêve de poésie fait son entrée dans les cercles littéraires guidé par son mentor. Un homme d’âge mûr va camper avec son frère et son neveu et raconte à ce dernier l’histoire de leurs ancêtres gallois. Un écrivain est bouleversé de voir un de ses amis, photographe de grand talent, tout simplement décider de mettre un terme à son oeuvre.Comment naissent les récits ? Comment se transmettent-ils au sein de la famille, de la fratrie ? Comment modèlent-ils nos vies, souvent à notre insu ? Pourquoi décide-t-on un jour de les écrire pour que des étrangers les lisent ? Pourquoi pourrait-on également un jour décider de se taire et de les garder pour soi ? «Voir un homme abandonner son oeuvre me fait de la peine. C’est pour ça que je persiste, même si le terme se dessine. Mon ami Jogues a achevé sa carrière pour ne pas se taper son agonie. Cette superbe m’est étrangère. Je travaille avec une ambition de plus en plus élémentaire. J’écris pour voir à quoi la vie ressemble, une fois écrite.»