couverture

À juillet, toujours nue dans mes pensées

Quessy, Benoît

  • Éditeur : QUÉBEC AMÉRIQUE
  • Collection : Première impression
  • 172 pages
  • ISBN 9782764406595
  • Paru le 20 janvier 2009
  • 16,95 $ *
  • Littérature québécoise

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Résumé

An 2033. Un groupe d’amis évolue autour de Juillet, militante écologiste et spécialiste du cybersexe. Leur préoccupation? La planète, et surtout, pourquoi l’avoir laissée périr?Érotique et sensuel, À Juillet, toujours nue dans mes pensées jette un regard amusé et percutant sur l’avenir de notre monde, sur notre capacité à nous reproduire et à aimer… demain. Dans un univers aux médias hypersexualisés où le terrorisme écologique semble être l’unique solution à un climat pourri, Juillet, Frank, Lol et Lou, qui n’ont pas 30 ans, cherchent, comme tous les jeunes de leur époque, l’amour et un peu d’espoir. Pas facile dans une société où le corps, comme tout le reste, se consomme à l’instant où le désir naît.

Biographie de l'auteur.e

Animé d’art et de culture, Benoît Quessy oeuvre en communication dans cette grande entreprise culturelle québécoise qu’est le Cirque du Soleil. Sculpteur passionné, il est devenu écrivain avec À Juillet, toujours nue dans mes pensées, son premier roman. Surveillez-le bien, car il ne fait que commencer.

Quatrième de couverture

Extrait : J’avais déjà, depuis quelques années, un site perso sur lequel je diffusais des images de moi, nue, pour accompagner mes récits érotiques. J’invitais mes lecteurs à me faire part de leurs aventures et de leurs fantasmes, que j’intégrais par la suite à mes écrits. Je me faisais de nouveaux amis. Rien de bien choquant, un passe-temps libertin pour m’exhiber et échanger avec des esprits un peu tordus et rigolos. Après cette réunion de notre cellule écolo, il me sembla évident que je devais tirer profit de mon expérience avec mon site perso pour créer un site de cybersexe payant et financer l’organisation. En moins de deux, j’avais loué le studio et fais l’acquisition de l’équipement de base. Facile. Trop. En fait, il y avait du cul partout.