couverture

Anne dans sa maison de rêve

Montgomery, Lucy Maud

  • Éditeur : Québec-Amérique
  • Collection : QA compact
  • 278 pages
  • ISBN 9782764404386
  • Paru le 29 juin 2005
  • 12,95 $ *
  • Littérature étrangère

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Résumé

Voici le plus grand classique canadien-anglais de tous les temps, vendu à plus de 60 millions d’exemplaires, traduit en 40 langues et adapté plusieurs fois pour le cinéma et la télévision. L’histoire de cette petite orpheline de l’Île-du-Prince-Édouard a véritablement envoûté les jeunes et les moins jeunes!Anne Shirley et Gilbert Blythe sont enfin mariés. Ils ont quitté Avonlea pour s’installer à Glen St. Mary, dans un village de pêcheurs où Gilbert pratique la médecine. Ils habitent une petite maison blanche bâtie sur la grève du port. Entourée d’arbres et située près d’un ruisseau, elle ressemble à un véritable rêve pour la jeune Anne.C’est dans cet environnement remarquable – et grâce à l’arrivée de plusieurs nouveaux personnages – que l’inimitable Anne mènera une existence parsemée d’incidents drôles et de moments tragiques. Car la vie se déchaîne toujours autour de cette amoureuse de la nature et des gens!

Biographie de l'auteur.e

Née à l'Île-du-Prince-Édouard en 1874, Lucy Maud Montgomery, comme plusieurs de ses héroïnes, s'est retrouvée orpheline très tôt. Élevée par ses grands-parents, elle a vécu une enfance difficile. Rêvant de devenir écrivaine, Lucy Maud a commencé à écrire à l'âge de neuf ans en tenant son journal intime dans la petite ville de Cavendish, qui ressemble à s'y méprendre au village d'Avonlea où se déroule l'histoire de sa célèbre Anne. Elle a tour à tour été institutrice et journaliste avant de devenir romancière et finalement l'une des auteures canadiennes les plus connues dans le monde.

Quatrième de couverture

Extrait :— Eh bien, quelle belle journée pour ton mariage, Anne, fit Diana en passant un volumineux tablier sur sa robe de soie. Tu n’en aurais pas eu une plus belle si tu l’avais commandée chez Eaton.— En vérité, beaucoup trop d’argent sort de cette Île pour aller au même Eaton, déclara Mme Lynde d’un ton indigné. Elle avait ses idées sur les magasins à rayons tentaculaires et ne perdait jamais une occasion de les faire savoir.— Et quant à leurs catalogues, c’est à présent devenu la Bible des filles d’Avonlea, si vous voulez mon avis. Elles se plongent dedans le dimanche au lieu d’étudier les Saintes Écritures.— Mon Dieu, ils amusent merveilleusement les enfants, fit remarquer Diana. Fred et la petite Anne peuvent passer des heures à regarder les images.— J’ai amusé dix enfants sans l’aide du catalogue d’Eaton, objecta sévèrement Mme Rachel.— Allez, vous deux, vous n’allez pas vous quereller à propos du catalogue d’Eaton, dit gaiement Anne. C’est mon grand jour, vous savez. Je suis si heureuse que je veux que tout le monde jouisse du même bonheur.