couverture

SAGA-- un volcan en Islande [Lang] fre

Laberge, Marc 1950 27 nov.-

  • Éditeur : Québec/Amérique jeunesse
  • 143 pages
  • ISBN 9782764401040
  • 9,95 $ *
  • Livres pratiques

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Résumé

Marc Laberge possède l'art de raconter et le goût de l'aventure. Destins et Le Glacier, ses deux premiers recueils, ont fasciné de nombreux jeunes et moins jeunes.Dans Saga... un volcan en Islande, un passionnant roman pour adolescents, il nous fait découvrir l'Islande et vivre le terrible cataclysme qu'est une éruption volcanique. Un récit impressionnant, très bien documenté et traversé par le souffle chaud de l'amitié et de la passion amoureuse.À vingt ans, Christophe est habité par le besoin de partir. Sac au dos, il quitte le Québec. Un de ses voyages le mène en Islande. Il y vivra des événements exceptionnels. Il y fera d'abord la rencontre de Saga, une jeune femme énigmatique qui lui fera connaître son pays, ses coutumes, mais aussi la passion amoureuse. Ensemble, ils partageront des moments d'une rare intensité en prenant part au sauvetage d'une île sur laquelle une éruption volcanique sévit. Avec acharnement et sang-froid, ils lutteront au sein de l'équipe de secouristes pour sauver le village qui menace de disparaître sous les cendres et la lave. De situations périlleuses en rencontres intimes, Christophe et Saga se rapprocheront sans cesse jusqu'au jour où...

Biographie de l'auteur.e

Marc Laberge est conteur, photographe, conférencier, auteur, ethnologue... Fasciné par les gens comme par la nature, il parcourt le monde avec une grande soif d’aventures, de réflexions et d’expériences intenses. Ses écrits aussi bien que ses photos ou sa parole lui permettent de transmettre son respect pour les différentes cultures et pour la nature. Auteur de nombreux recueils de contes, Marc Laberge est également l’auteur, chez Québec Amérique, du roman Saga... un volcan en Islande et du recueil de contes Destins.

Quatrième de couverture

Extrait :La force du vent s'intensifiait, les masques suffisaient à peine et les rafales poussiéreuses s'infiltraient par les moindres interstices. La ville se recouvrait d'un manteau de cendre de plus en plus épais. La situation se dégradait minute après minute. À dix-sept heures précises, Thorbjörn a donné l'ordre d'évacuation.À peine le temps de récupérer nos sacs, nous nous sommes précipités vers les bateaux. En courant, j'ai trébuché. Saga m'a agrippé par le bras et m'a tiré vivement. J'avais frôlé une grosse pierre fumante.— Un boulet de feu! Je l'ai échappé belle!Sur le pont, les passagers suffoquaient. Les cendres s'accumulaient sur le navire.— Jetez-moi cette bouillie par-dessus bord, a hurlé le capitaine! Le bateau ne doit pas s'alourdir davantage.Et tous de s'acharner, qui à la pelle, qui à la main, pour balancer la cendre à la mer.Le retour à Reyjavík a été pénible. En onze jours, nous nous étions attachés à cette île comme à une terre qui nous aurait vus naître. Nous ne pouvions accepter l'idée qu'elle puisse disparaître. S'accrochant aux rares repères encore visibles entre les vagues, Saga cachait mal son désarroi.