couverture

Familles et presbytères

Gagnon, Serge

  • Éditeur : Presses de l'Université Laval
  • ISBN 9782763799681
  • Paru le 15 octobre 2013
  • 24,95 $ *
  • Histoire

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Résumé

Pourquoi tant de presbytères abandonnés ou désertés ? Pourquoi tant d'autres habités par les proches du curé ? Ces immeubles offerts gratuitement au locataire ont-ils toujours été construits de bonne grâce, comme le veut l'historiographie ancienne et moderne? En plus de répondre à ces questions pour l'époque où le Québec s'appelait Bas-Canada, l'essai démontre la solidarité du curé de campagne avec une paysannerie dominée par la classe seigneuriale. Alors que celle-ci bloque l'accès des jeunes à la propriété foncière, l'occupant du presbytère réclame avec force la protection de l'État contre la rapacité des rentiers du sol.Cet essai est la troisième contribution à la biographie collective (les savants disent prosopographie) inaugurée dans Quand le Québec manquait de prêtres (2006) et reprise dans L'argent du curé de campagne (2010).

Biographie de l'auteur.e

Professeur retraité de l'Université du Québec à Trois-Rivières, Serge Gagnon a notamment publié aux Presses de l'Université Laval Mourir hier et aujourd'hui (1987), Plaisir d'amour et crainte de Dieu (1990), Mariage et famille au temps de Papineau (1993), Quand le Québec manquait de prêtres (2006) et L'argent du curé de campagne 2010.

Quatrième de couverture

Pourquoi tant de presbytères abandonnés ou désertés ? Pourquoi tant d'autres habités par les proches du curé ? Ces immeubles offerts gratuitement au locataire ont-ils toujours été construits de bonne grâce, comme le veut l'historiographie ancienne et moderne? En plus de répondre à ces questions pour l'époque où le Québec s'appelait Bas-Canada, l'essai démontre la solidarité du curé de campagne avec une paysannerie dominée par la classe seigneuriale. Alors que celle-ci bloque l'accès des jeunes à la propriété foncière, l'occupant du presbytère réclame avec force la protection de l'État contre la rapacité des rentiers du sol.Cet essai est la troisième contribution à la biographie collective (les savants disent prosopographie) inaugurée dans Quand le Québec manquait de prêtres (2006) et reprise dans L'argent du curé de campagne (2010).