couverture

Douceur du roi : le gouvernement de Louis XIV et la fin des Frondes (1648-1661) (La)

Brière, Nina

  • Éditeur : Presses de l'Université Laval
  • Collection : Autour de l'événement
  • ISBN 9782763793924
  • Paru le 11 octobre 2011
  • 19,95 $ *
  • Histoire

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Résumé

Paris, 2 juillet 1652. Pour échapper à ses assaillants, Louis II de Bourbon, Prince de Condé, accompagné de ses troupes, parvient à entrer dans la ville in extremis. Le sang sur son armure est celui des soldats de son propre cousin, Louis XIV, roi de France.

Biographie de l'auteur.e

Nina Brière est née à Lahr, en Allemagne, en 1983. Après quelques aller-retour entre l'Europe et le Canada jusqu'à la fin des années 1990, elle entame ses études supérieures au Québec. Son baccalauréat en histoire avec profil international à l'Université Laval complété, elle poursuit à la maîtrise en histoire politique sous la direction de Michel De Waele, spécialiste de l'Europe à l'époque moderne. Elle s'intéresse à la résolution des conflits et aux stratégies politiques dans la France du XVIIe siècle.

Quatrième de couverture

Paris, 2 juillet 1652. Pour échapper à ses assaillants, Louis II de Bourbon, Prince de Condé, accompagné de ses troupes, parvient à entrer dans la ville in extremis. Le sang sur son armure est celui des soldats de son propre cousin, Louis XIV, roi de France. Depuis près de quatre ans, plusieurs grands membres de la noblesse française se sont révoltés contre le gouvernement royal. Ils en veulent plus particulièrement à Jules Mazarin, successeur du cardinal de Richelieu et principal ministre du royaume. Pour tenter de le chasser, ils s'allieront aux Espagnols, ennemis des Français. Cette révolte complexe qui secoua la France s'appelle la Fronde. De 1648 à 1653, plusieurs groupes de la société française prennent les armes et bravent l'autorité royale. Le gouvernement de Louis XIV devra mater la révolte. De quelle façon s'y prendra-t-il ? L'image du roi que nous lègue l'histoire est un être dur et sans pitié. Et s'il en était autrement ? Considéré comme le Père du peuple, le roi de France pouvait-il se permettre de réprimer dans le sang ses sujets révoltés ?