couverture

Tu te souviendras de moi

Archambault, François

  • Éditeur : Leméac
  • Collection : Théâtre Leméac
  • ISBN 9782760904392
  • Paru le 13 janvier 2014
  • 13,95 $ *
  • Théâtre

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Un historien à la retraite commence à perdre la mémoire. Retiré de la scène médiatique, mais refusant de disparaître, il erre parmi ceux qui s'échangent sa garde. Sa femme, sa fille et le conjoint de cette dernière ayant successivement renoncé à veiller sur lui, il est placé sous la surveillance de la jeune fille de ce conjoint ; rebelle, mais intriguée, elle l'amènera malgré elle à revisiter un pan de son passé qu'il avait décidé d'oublier.

Biographie de l'auteur.e

François Archambault a signé une douzaine de textes pour le théâtre et a participé à de nombreuses oeuvres collectives. On lui doit entre autres Cul sec, Si la tendance se maintient, Les gagnants, 15 secondes (Prix littéraire du Gouverneur général du Canada), Adieu beauté (Masque de la meilleure production région), La société des loisirs (Masque du meilleur texte original) et Enfantillages. Ses pièces ont été traduites et souvent reprises à l’étranger. Tu te souviendras de moi, écrit lors d’une résidence de l’auteur au Théâtre de La Manufacture, sera créé en janvier à la Licorne, dans une mise en scène de Fernand Rainville.

Quatrième de couverture

Un historien à la retraite commence à perdre la mémoire. Retiré de la scène médiatique, mais refusant de disparaître, il erre parmi ceux qui s’échangent sa garde. Sa femme, sa fille et le conjoint de cette dernière ayant successivement renoncé à veiller sur lui, il est placé sous la surveillance de la jeune fille de ce conjoint ; rebelle, mais intriguée, elle l’amènera malgré elle à revisiter un pan de son passé qu’il avait décidé d’oublier. D’une tonalité généralement grave, avec des percées d’humour typiques de son auteur, la pièce explore ce qui passe et ce qui reste, les traces qu’on laisse, la fugacité des choses. Au-delà de l’amnésie d’un homme, il y est question de celle d’une civilisation, la nôtre, obsédée par le présent.