couverture

Poutine pour emporter

Gosemick, Marie Eve

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Résumé

« J'ai servi des poutines pendant quatre ans de ma vie, quatre années à sentir la cantine. Toute bonne soirée se terminait inlassablement par une poutine au bacon ou un combo Déro de la propriété familiale. À l'instar de la poutine qui semblait un mélange improbable pour les touristes en visite au Québec, ma vie était un chaos pour plusieurs autour de moi. » Fred Proulx en a son voyage. Désillusionné par un quotidien qu'il juge insipide, il décide d'affronter son insomnie chronique en partant en Colombie, où il se défoulera contre l'incompétence des figures d'autorité et se pétera la gueule à trop vouloir exister. Road movie à la poésie métissée, ce roman raconte la crise du quart de vie d'un éternel chokeux dont les cicatrices de voyage cachent une mélancolie aussi douce que profonde.

Biographie de l'auteur.e

Initiée tôt à l'adaptation culturelle, Marie Eve Gosemick a parcouru plus de trente pays et parle presque cinq langues. Professionnelle de l'administration des affaires, elle a eu l'occasion de travailler au Mexique, en France, en Suisse, au Ghana, au Cameroun, en Côte d'Ivoire et aux États-Unis. Lorsqu'elle n'écrit pas, elle voyage, travaille à son compte, danse et court. Poutine pour emporter est son premier roman.

Quatrième de couverture

« J'ai servi des poutines pendant quatre ans de ma vie, quatre années à sentir la cantine. Toute bonne soirée se terminait inlassablement par une poutine au bacon ou un combo Déro de la propriété familiale. À l'instar de la poutine qui semblait un mélange improbable pour les touristes en visite au Québec, ma vie était un chaos pour plusieurs autour de moi. » Fred Proulx en a son voyage. Désillusionné par un quotidien qu'il juge insipide, il décide d'affronter son insomnie chronique en partant en Colombie, où il se défoulera contre l'incompétence des figures d'autorité et se pétera la gueule à trop vouloir exister. Road movie à la poésie métissée, ce roman raconte la crise du quart de vie d'un éternel chokeux dont les cicatrices de voyage cachent une mélancolie aussi douce que profonde.