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Après la mort de Louis XVI sous la guillotine le 21 janvier 1793, le peuple continue d'être affamé, la Terreur est partout, les révoltes éclatent dans tous les départements. En 1795, le Directoire proclame le temps de la concorde mais par un coup d'Etat du 18 brumaire, le jeune Bonaparte s'empare du pouvoir promettant le retour de l'ordre.
Louis Capet ci-devant Louis XVI, roi de France, est monté sur l'échafaud, le lundi 21 janvier 1793. Ce sang royal répandu rend tout compromis impossible. La République doit «vaincre ou mourir». La Convention en appelle à la nation : «Aux armes, citoyens !». Le danger est partout, aux frontières du pays comme à l'intérieur, où les différents partis se déchirent et bientôt s'entretuent. Pour un rien l'on devient suspect de traîtrise. La guillotine, ce «rasoir national», menace tout un chacun. La Terreur est à l'ordre du jour.. À trop couler, le sang devient un fleuve emportant tout dans sa fureur. Marat, Danton, Robespierre, Montagnards, Jacobins, Girondins, Enragés et Indulgents, sont tour à tour acclamés, honnis, réhabilités, décapités. «La fièvre révolutionnaire est une terrible maladie.».