couverture

Capitaine est parti déjeuner et les marins se sont emparés du navire (Le)

Bukowski, Charles

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Résumé

Dans cette chronique, où l'humour ne le cède jamais à la causticité du propos, l'auteur juge ses contemporains, et ne retient de sa vie qui s'en va que l'essentiel, son besoin de jouer et d'écrire.

Quatrième de couverture

Alors que la Faucheuse se prépare à l'entraîner de l'autre côté du miroir, l'auteur des Contes de la folie ordinaire entame, à la demande d'un ami, un journal intime.. S'il dit son peu de goût pour ce genre d'exercice, il s'y plie cependant avec une magnifique sincérité, n'épargnant ni ses contemporains ni lui-même.. Les courses de chevaux, les ennuyeux interviewers ou quémandeurs d'autographes, la lecture d'un jeu d'épreuves, ces ongles de pied qu'il faudrait bien se décider à couper : tout ce qui fait sa vie de tous les jours est là. Et aussi les nuits d'insomnie, lorsque l'écran du Mac constitue l'ultime ressource et la seule liberté.. Car le «vieux Buk» se veut avant tout un écrivain. Et c'est une superbe «préface à la vie d'écrivain» qu'il nous donne ici, en point final d'une oeuvre parmi les plus singulières et les plus fortes de ce temps..