couverture

Garde blanche (La)

Boulgakov, Mikhaïl Afanassievitch

  • Éditeur : R. Laffont
  • Collection : Pavillons poche
  • ISBN 9782221202364
  • Paru le 16 octobre 2017
  • 21,95 $ *
  • Littérature étrangère

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Résumé

Paru d'abord sous une forme périodique dans la revue littéraire Rossia en 1926, ce roman, qui contient de nombreux éléments autobiographiques, décrit le chaos de l'époque révolutionnaire à Kiev et, tout en glorifiant la vieille intelligentsia russe, montre le caractère inéluctable de la révolution d'Octobre.

Quatrième de couverture

La garde blanche

Kiev, décembre 1918. Sur fond de guerre civile russe, Boulgakov raconte la fin de l'Ukraine tsariste à travers la destinée de la famille Tourbine, inspirée de sa propre famille. Si la mort sévit partout, chez les Tourbine, autour de la table familiale où éclatent la blancheur de la nappe et le chatoiement de la porcelaine, le temps est suspendu. Jusqu'à ce que les troupes ukrainiennes, dirigées par Simon Petlioura, déferlent sur Kiev. Plongés dans la tourmente, tous les hommes de la famille rejoignent alors la Garde blanche pour arrêter l'avancée des bolcheviks...

Écrit en 1923-1924, ce premier grand roman de l'auteur du Maître et Marguerite était, disait-on, le livre préféré de Staline car il montrait, mieux que tout autre, le bouleversement apporté par le communisme à la Russie.
Ce livre où Boulgakov a mis toute sa nostalgie lui aurait, non sans paradoxe, sauvé la vie.

« Grande - grande et terrible - fut cette année-là, mil neuf cent dix-huitième depuis la naissance du Christ, et seconde depuis le début de la Révolution. »
Mikhaïl Boulgakov