couverture

François Truffaut

Correspondance avec des écrivains

Truffaut, François

  • Éditeur : Gallimard
  • ISBN 9782072925726
  • Paru le 2 février 2022
  • 45,95 $ *
  • Essais

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Résumé

Correspondance échangée par le cinéaste avec de nombreux écrivains (Cocteau, Genet, Audiberti), des directeurs de collection (Cayrol, Duhamel, Sabatier) mais aussi des auteurs qu'il souhaite adapter à l'écran (Pons, Bradbury ou encore Roché). Dans ces échanges, ce sont les coulisses du cinéma et de l'édition qui sont dévoilées : tensions des tournages, pression des uns, affection des autres.

Quatrième de couverture

Correspondance avec des écrivains 1948-1984 . Sur une photographie ancienne, il est cet enfant sage et mélancolique, déjà penché sur son livre... « Tout au long de notre vie, écrit François Truffaut, nous devenons des personnes différentes et successives, et c'est ce qui rend tellement étranges les livres de souvenirs. Une personne ultime s'efforce d'unifier tous ces personnages antérieurs. » Depuis sa première lettre de jeune cinéphile à Jean Cocteau, en 1948, jusqu'à sa disparition prématurée en 1984, c'est son goût commun pour la littérature et le cinéma qui traverse cette Correspondance inédite. Truffaut s'y réinvente une famille de coeur auprès de ses écrivains de prédilection (Genet, Cocteau, Audiberti, Louise de Vilmorin), sollicite des figures renommées de l'édition (Jean Cayrol, Marcel Duhamel, Robert Sabatier) et les auteurs qu'il veut adapter à l'écran (Maurice Pons, David Goodis, Ray Bradbury, Henri Pierre Roché, René-Jean Clot...).. Ce sont les coulisses de la création, les passions des tournages que l'on découvre ici, mais aussi les remises en question et les zones d'ombre d'un homme pressé, auquel le temps va cruellement manquer... Et c'est à son ami Jean Mambrino, le père jésuite rencontré en 1954 dans le sillage d'André Bazin, que Truffaut adresse ce dernier petit mot, quelques mois à peine avant sa mort : « Bonne année 1984, mon cher Jean. Je remonte la pente, je lis vos poèmes, ils m'aident et vos signes d'amitié me touchent beaucoup, affectueusement vôtre, François. ».