couverture

Tennessee Williams

Kerjan, Liliane

  • Éditeur : Gallimard
  • Collection : Folio Folio biographies
  • 224 pages
  • ISBN 9782070438969
  • Paru le 23 novembre 2010
  • 16,95 $ *
  • Essais

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Résumé

Moi, je vis comme un bohémien, je suis un fugitif. Il n'y a pas un lieu qui me semble habitable au-delà d'une certaine durée, pas même ma propre peau.Petit-fils de pasteur, fils d'un représentant de commerce, Tennessee Williams (1911-1983) a embrasé son siècle. Tour à tour nomade en espadrilles et séducteur en costume de shantung, il était partout chez lui. À Key West, à La Nouvelle-Orléans, à New York, à Rome, Londres, Paris. Partout où il y avait du théâtre, des matelots et du désir, cet antidote de la mort. Les meilleurs comédiens du moment ont été ses interprètes : Marlon Brando, Arletty, Anna Magnani, Liz Taylor. Les plus grands cinéastes – Kazan, Losey, Lumet – ont adapté ses pièces. Toute sa vie durant, Tennessee Williams n'a cessé de dialoguer avec les mythes. C'est cette vie qui nous est racontée ici, nourrie d'échecs, de triomphes, d'expériences douloureuses, avec tous ses excès, toute sa folie, et son immense sentiment de solitude qui la suivait comme son ombre.

Biographie de l'auteur.e

Liliane Kerjan, agrégée, docteur en lettres, ancien recteur d’académie et professeur des Universités en études américaines, est présidente de l’Institut Franco-Américain à Rennes et collabore régulièrement à La quinzaine littéraire depuis 1986. Elle est l’auteur d’une douzaine d’ouvrages dont des essais biographiques parmi lesquels Ce que je sais d’Arthur Miller (François Bourin, 2012) et Fitzgerald le désenchanté (Albin Michel, 2013). Dans la collection Folio Biographie, elle est l’auteur de Tennessee Williams (2010) et de Truman Capote (2015).

Quatrième de couverture

Toute sa vie durant, Tennessee Williams n'a cessé de dialoguer avec les mythes. C'est cette vie qui nous est racontée ici, nourrie d'échecs, de triomphes, d'expériences douloureuses, avec tous ses excès, toute sa folie, et son immense 'sentiment de solitude qui la suivait comme son ombre.'