couverture

Colère blanche

Börjlind, Cilla

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Résumé

Olivia est désormais enquêtrice dans une petite ville de Scanie où racisme et sexisme font la loi. C'est pourquoi elle reçoit peu de soutien de ses collègues quand elle instruit le dossier de jeunes enfants retrouvés le cou brisé : la fillette est ghanéenne tandis que le garçon est kurde iranien. Les parents des victimes l'aident à identifier les membres de la cellule néonazie Colère blanche.

Quatrième de couverture

Olivia Rönning, que nous avons connue stagiaire à la brigade criminelle dans Marée d'équinoxe (Points, 2015), se retrouve enquêtrice dans une ville moyenne de Scanie, province connue pour être un bastion de l'extrême droite suédoise. De fait, au poste de police, les commentaires sont à la fois sexistes et racistes.. Une petite fille de trois ans est retrouvée morte dans le bac à sable du jardin de ses parents adoptifs : on lui a tordu le cou. Elle était originaire du Ghana, alors, comme le dit si bien un collègue d'Olivia, « ce n'est pas tout à fait pareil ». Puis c'est Aram Mellberg, un petit garçon kurde d'origine iranienne, que l'on retrouve mort le cou brisé sur le chemin qui le menait à l'école. La mère d'Aram, experte dans l'art de débusquer l'identité réelle de contributeurs anonymes à des sites d'incitation à la haine raciste, aide Olivia à établir le lien entre un groupe de quatre hommes qui se sont exprimés sur les meurtres dans un forum et une cellule néo-nazie nommée Colère blanche, qui s'apprête à semer la terreur avec des attentats ciblés.. Voilà Olivia de nouveau entraînée dans une enquête complexe et riche en rebondissements, où elle risque sa vie. Une enquête qui nous offre un panorama assez inquiétant de la société suédoise, du moins de l'ambiance où elle baigne, fort bien captée et ultra contemporaine..