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Eau du Nord : un projet réaliste, durable et rentable pour exploiter l'or bleu québécois (L')

Gingras, Pierre

  • Éditeur : MARCEL BROQUET ÉDITEUR
  • Collection : Éveil environnemental
  • 190 pages
  • ISBN 9782923715391
  • Paru le 8 juin 2010
  • 24,95 $ *
  • Environnement

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Résumé

Ce livre expose les résultats de plusieurs années d'études techniques et d'études d'intégration à l'environnement du Complexe hydroélectrique Eau du Nord, grâce auquel les Québécois pourraient exporter un débit d'eau potable de huit cents mètres cubes par seconde vers la région des Grands Lacs. Ce débit pourrait satisfaire les besoins d'une population de plus de 150 millions de personnes. Cet ouvrage explique la faisabilité de ce projet, explique chacun des vingt-cinq projets hydroélectriques qui interceptent les eaux de crues de trois rivières de la Baie James et les dirigent vers le Fleuve Saint-Laurent dans le respect de l'environnement. Plutôt que de subir éventuellement une « guerre de l'eau » avec ses voisins, le Québec est en mesure de créer une magnifique opportunité de développement qui pourrait la placer au rang de l'une des provinces les plus riches du Canada. Alors que les experts en changements climatiques prédisent une diminution de l'ordre de 30 % des apports d'eau au niveau des Grands Lacs, déjà anormalement bas, considérant que seulement 1 % des eaux de la planète est disponible pour conserver la vie humaine, végétale et animale, étant donné aussi que d'ici 2025, la Convention de l'ONU de lutte contre la diversification prévoit que 70 % des terres subiront les effets de la désertification, on conviendra que ce projet québécois appelé Eau du Nord est bien modeste au sein de tous ceux qui se construisent déjà, en toute urgence, à travers le monde.

Biographie de l'auteur.e

Responsable de l’unité de planification-estimation des grands projets hydroélectriques à Hydro Québec durant 31 ans, F. Pierre Gingras a participé notamment à la réalisation des complexes Manic-Outardes et Baie James, aux réfections des complexes St-Maurice, Gatineau et aux études d’une multitude d’autres projets tels les complexes Grande Baleine, Romaine. Depuis sa retraite en 1997, en plus du projet L’Eau du Nord, appuyé par l’Institut économique de Montréal, il a été impliqué dans une cinquantaine d’études de projets.