couverture

Une divine plaisanterie : le cycle de Manawaka

Laurence, Margaret

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Résumé

Rachel Cameron, une institutrice célibataire vivant à Manawaka, est enfermée dans un cocon de silence, une armure de désirs inassouvis. Celle qui se définit comme un « anachronisme » continue, jour après jour, de prendre soin de sa mère en couvant à l’insu de ses collègues une détresse intérieure profonde, une soif de liberté et de passion que la rencontre de Nick, un amant de passage, viendra brièvement apaiser.Récompensé par le Prix littéraire du Gouverneur général et adapté au cinéma par Paul Newman sous le titre Rachel, Rachel, Une divine plaisanterie dissèque avec un humour acide les thèmes de la solitude, de l’amour, de la mort et de la foi. En remarquable peintre des sentiments, la grande dame des lettres canadiennes signe un récit émouvant pétri d’humanité, un portrait de femme hors du commun aux échos universels.

Biographie de l'auteur.e

Née Jean Margaret Wemyss, elle a vu le jour en 1926 à Neepawa, au Manitoba. Celle que l’on surnomme «Peggy» n’a que quatre ans lorsque sa mère, Verna Jean Simpson, décède. Son père, l’avocat Robert Harrison Wemyss, se remarie avec la tante de la petite fille, Margaret Campbell Simpson, venue aider la famille, avant de mourir à son tour en 1935. Après ses études, Jean Margaret est embauchée par le Winnipeg Citizen puis épouse, en 1947, l’ingénieur Jack Laurence. Le couple s’installe d’abord en Angleterre avant de déménager en Somalie et au Ghana, un séjour qui marque profondément l’écrivaine.