couverture

Chroniques du lézard

Ombasic, Maya

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Résumé

Une jeune femme est envahie par les facades délabrées de la Havane mouillées par les eaux du Malecón. Une veuve qui laisse sa maison s’empoussiérer apprend que son fils a été avalé par la mer d’émeraude. Un vieillard habite une centrale nucléaire désaffectée. Dans ce livre, on découvre Cuba comme un parc jurassique de la révolution, comme un éden social qui se transforme en enfer, comme une île enceinte d’une eau bleue sillonnée de pétroliers. Mais surtout, comme un lieu magique, où, désinvolte, il est possible de connaître l'amour

Biographie de l'auteur.e

Née à Mostar, alors en Yougoslavie, la situation géographique de sa ville natale, à quelques kilomètres seulement de la côte Adriatique, permet à Maya Ombasic de passer ses étés au bord de la mer, en rêvant de sillonner les mers des pays lointains. Cet amour lointain pour la mer trouvera écho à Cuba où est né son premier livre Chroniques du Lézard. Après de nombreux périples en Europe et en Amérique, Maya choisit Montréal comme étant sa ville d'adoption. Suite à une maitrise en philosophie et déjà trois années de préparation au doctorat, elle mène parallèlement à ses projets académiques et d'écriture, une carrière de scénariste. En 2008, elle décide de s'inscrire à l'INIS au profil scénarisation afin d'explorer toutes les facettes de l'écriture. Elle a donc déjà scénarisé trois courts métrages dont " l'Épitaphe " présenté au festival du " Rendez-vous du Cinéma québécois " en février 2009. Elle s'est déjà lancée dans l'écriture de son premier long métrage où l'art et la quête d'identité jouent les rôles principaux. À peine terminé son deuxième livre Rhadamanthe, elle a largué les amarres pour Lyon où elle a été invitée à titre d'écrivain en résidence afin de se consacrer à l'écriture de son troisième livre, le plus autobiographique puisque relatant l'éternelle quête d'absolu aux saveurs de l'enfance, de la guerre, de la mort de son père et de la quête identitaire qui sévit encore ses nuits blanches. Nomadisme faisant partie de ses gènes, il semblerait qu'après tout, l'écriture soit son unique pays d'attache.

Quatrième de couverture

La Havane avec ses voitures anciennes et ses façades coloniales se dévoile au rythme de la mer dans ce livre où l'on découvre Cuba comme un parc jurassique de la révolution, comme un éden social qui se transforme en enfer, comme une île enceinte d'une eau bleue sillonnée de pétroliers.