couverture

Guerre est dans les mots et il faut les crier

Grandena, Florian

  • Éditeur : Éditions Triptyque
  • ISBN 9782898011634
  • Paru le 28 février 2022
  • 26,95 $ *
  • LGBTQ+

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Résumé

Nous avons écrit ce livre avec nos corps. Nous avons parfois failli y laisser notre peau. Nous avons parfois failli y laisser notre santé mentale, également, puisque nous avons choisi d'y creuser des sujets qui nous révoltent, nous obsèdent, nous font violence. Nous avons aussi été affectés par l'extérieur, par l'état actuel du monde, par les meurtres et agressions qui se sont produits pendant que nous rédigions le livre. Il n'était pas possible d'écrire sans dire« je», sans parler d'une même voix au «nous», tout en rendant cette voix fluide, fluctuante, insaisissable. Nous avons écrit à partir des effets politiques de ce que nous sommes, tout en brouillant les pistes - rien, ici, n'appartient plus à l'un qu'à l'autre. Nous écrivons ensemble.

Biographie de l'auteur.e

Florian Grandena (il/lui) est professeur agrégé et enseigne principalement les études cinématographiques au Département de communication de l'Université d'Ottawa. Avec Cristina Johnston, il est le coauteur de Cinematic Queerness et de New Queer Images (Peter Lang, 2011). Il est aussi l'auteur de Showing the World to the World (Cambridge Scholars Publishing, 2008) et de nombreux articles scientifiques sur le cinéma queer international.

Pierre-Luc Landry (iljiell, demiboy non-binaire et settler genderqueer, est auteur, directeur littéraire, militant queer et professeur d'études littéraires et culturelles au Département de français de l'Université de Victoria. Il a publié deux romans, L'équation du temps (Druide, 2013) et Les corps extraterrestres (QC Fiction, 2017), en plus de quelques essais et ouvrages collectifs.

Quatrième de couverture

Nous avons écrit ce livre avec nos corps. Nous avons parfois failli y laisser notre peau. Nous avons parfois failli y laisser notre santé mentale, également, puisque nous avons choisi d'y creuser des sujets qui nous révoltent, nous obsèdent, nous font violence. Nous avons aussi été affectés par l'extérieur, par l'état actuel du monde, par les meurtres et agressions qui se sont produits pendant que nous rédigions le livre. Il n'était pas possible d'écrire sans dire« je», sans parler d'une même voix au «nous», tout en rendant cette voix fluide, fluctuante, insaisissable. Nous avons écrit à partir des effets politiques de ce que nous sommes, tout en brouillant les pistes - rien, ici, n'appartient plus à l'un qu'à l'autre. Nous écrivons ensemble..