couverture

Liberté par les cornes (La)

Ménard, Jean-Sébastien

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Résumé

Automne 1948. François Moreau, 17 ans, s'ennuie. Il passe son temps à rêver de liberté, de voyage et de poésie, étouffé par l'atmosphère du collège et par son père. Porté par le Refus global qui lui met le vent dans les voiles, il décide un matin de fuguer et de se faire marin. Il aboutit à Paris, une ville qui lui donne envie de ne pas être né pour un petit pain. Au contraire, là-bas, il pense en géant. Aux côtés de Jacques Languirand, son grand ami, mais aussi de Félix Leclerc, Hubert Aquin, Henry Miller et plusieurs autres, François vivra sa bohème et se lancera dans l'écriture. Pourtant, à une époque où l'on vient en France pour mieux retourner au Québec, lui ne veut pas regagner son pays natal...

Biographie de l'auteur.e

Jean-Sébastien Ménard est né à Sorel en 1977. Il enseigne au collège Édouard-Montpetit et au ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles. Il a sélectionné les poèmes du recueil Ma paix de Claude Péloquin (BQ, 2010), qu’il a également présenté. À titre de critique littéraire, il a collaboré au Terra Nova Magazine et à Canadian Literature. Il a aussi rédigé une étude intitulée Une certaine Amérique à lire : la Beat Generation et la littérature québécoise. La liberté par les cornes est son premier roman.

Quatrième de couverture

Automne 1948. François Moreau, 17 ans, s’ennuie. Il passe son temps à rêver de liberté, de voyage et de poésie, étouffé par l’atmosphère du collège et par son père. Porté par le Refus global qui lui met le vent dans les voiles, il décide un matin de fuguer et de se faire marin. Il aboutit à Paris, une ville qui lui donne envie de ne pas être né pour un petit pain. Au contraire, là-bas, il pense en géant. Aux côtés de Jacques Languirand, son grand ami, mais aussi de Félix Leclerc, Hubert Aquin, Henry Miller et plusieurs autres, François vivra sa bohème et se lancera dans l’écriture. Pourtant, à une époque où l’on vient en France pour mieux retourner au Québec, lui ne veut pas regagner son pays natal… De racines, Moreau affirme ne pas en avoir. Il rêve d’une vie dans laquelle il prendra la liberté par les cornes… quitte à ce que ses mots ne soient jamais connus. Avec cet ouvrage plus romanesque que biographique, Jean-Sébastien Ménard tente de saisir l’essence de cet écrivain méconnu que l’on gagnerait à découvrir.