couverture

Île cassée (L')

Cliche, Marie

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Résumé

Léo n’a rien demandé. Surtout pas d’atterrir sur ce rocher cassé, sec, à la merci d’un ciel qui s’entête dans son bleu. Léo a soif, soif de sa mère. Heureusement qu’il y a tante Amande et son joyeux spleen éthylique, Olive à noyau dur, le nain Basile à la foi de géant, Romain le romanichel et les autres descendants de naufragés pour peupler son île.

Quatrième de couverture

Léo n’a rien demandé. Surtout pas d’atterrir sur ce rocher cassé, sec, à la merci d’un ciel qui s’entête dans son bleu. Léo a soif, soif de sa mère. Heureusement qu’il y a tante Amande et son joyeux spleen éthylique, Olive à noyau dur, le nain Basile à la foi de géant, Romain le romanichel et les autres descendants de naufragés pour peupler son île.Mais surtout, bien calée dans son fauteuil roulant, il y a grand-mèreAgathe qui l’aide à naviguer entre imagination et réalité. Car Léo seraconte des histoires, des histoires « vraies » arrachées à l’invisiblepour refaire le monde.Dur de s’ancrer dans le roc.« Ma mère s’appelait Flore. Flore pour une amoureuse des fleurs. Saufque le rocher s’accordait à son ventre chiche. La sécheresse y régnait.Impossible d’y faire pousser quelque verdure que ce soit. Flore donc,pour une amoureuse de fleurs impossibles… pour une amoureuse de l’impossible. Elle m’avait baptisée Éléonore. Joli prénom, mais long, lourd, beaucoup trop obèse pour une mère trop maigre. Elle merebaptisa Léo. Plus pratique, plus court pour aller au plus court…Flore, pour une mère impossible. »Architecte, Marie Cliche exerce sa profession pendant neuf ans avant de se tourner vers les arts. Elle touche d’abord à la scénarisation, puisréalise un film sur l’art, De l’ocre à l’azur, en 1999. Elle aborde ensuitela littérature, publie quelques oeuvres destinées à un jeune public, et un premier roman, Partir en douce (Éditions du Lilas, 2003). Aujourd’hui, elle partage son temps entre l’écriture et la peinture.