couverture

Sweet, sweet China : roman

Mihali, Felicia

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Résumé

Portée par trois déesses qui veillent en quelque sorte sur elle, Augusta raconte son séjour en Chine à titre de professeur de français, le dur apprentissage d'une culture qui ne se laisse pas apprivoiser facilement. Ici, les signes sont souvent indéchiffrables (et comment!). Cependant, il faut faire avec et ce n'est pas de tout repos. Heureusement, il y a le sommeil (que les Chinois vénèrent), les rêves et surtout l'imaginaire, celui des contes qui nous racontent la merveilleuse histoire de Mei.

Quatrième de couverture

Placée sous la surveillance de trois déesses, mais à son insu, Augusta entreprend de raconter son séjour de dix mois en Chine à titre de professeure de français pour les Chinois qui veulent émigrer au Canada. Vivre en Chine, c'est aborder une autre planète. Et bien qu'Augusta ait des rudiments de la langue chinoise, elle est constamment décontenancée par les codes d'une culture qui lui est totalement étrangère. Elle nous raconte donc de long en large sa difficile, sinon impossible, intégration. On ne s'étonnera pas, par ailleurs, qu'Augusta, pour se protéger de cette quasi impossible communication avec les Chinois, choisisse parfois de se réfugier dans un monde imaginaire. Et ces voyages, ils sont souvent magnifiques. Particulièrement ceux qui concernent Mei (Fleur de prune), une Chinoise de la Chine ancienne, dont Augusta nous raconte les péripéties. Entrez dans ce livre étrange (accompagné de plusieurs photos de l'auteure). Découvrez un pays aussi insondable que l'abîme. Et puis lisez en prime les incursions de la narratrice dans la Chine ancienne du temps où les grands propriétaires terriens pouvaient voir leur nouvelle maîtresse disparaître dans le paysage d'un tableau !