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Nuit, tous les dieux sont noirs (La)

Deland, Monique

  • Éditeur : Le Noroît
  • 132 pages
  • ISBN 9782890188976
  • Paru le 20 octobre 2014
  • 21,00 $ *
  • Poésie

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Résumé

Un accident est à l’origine d’une singulière traversée. Une chute du corps, une faille, un bris dans la tête, et l’esprit assiste en direct à l’évasion de la conscience.C’est l’occasion d’une double plongée : une investigation au cœur du cycle occulte des naissances et renaissances, et une exploration critique de ce qui fait de l’esprit un organe pensant fixateur de l’identité.

Biographie de l'auteur.e

Monique Deland, est poète, critique littéraire et essayiste.Elle a reçu le prix Émile-Nelligan 1995 pour «Géants dans l’île»; le prix académique Québec-Amérique 1998 pour «Rivages. Pour une esthétique de l’ambivalence»; le prix Alain-Grandbois 2009 pour «Miniatures, balles perdues et autres désordres» et le prix Félix-Antoine-Savard 2010. Elle a également fait paraître «Géologie des corps surpeuplés» (finaliste au Prix du Poème en Prose Louis Guillaume 2012, en France) et «La nuit, tous les dieux sont noirs» (finaliste au Grand Prix du livre de Montréal 2015).Elle a par ailleurs publié une soixantaine de commentaires critiques de fond (portant sur des livres de poésie québécoise actuelle), dans les revues «Trois», «Estuaire», «Mœbius» et actuellement dans «Les écrits». Elle a aussi signé quelques essais plus théoriques portant sur le processus créateur des poètes.Elle est membre de l’Académie des lettres du Québec depuis 2014. Son travail est reconnu en France, en Italie et en Irlande.AU NOROÎT, elle a publié «J’ignore combien j’ai d’enfants» (2018), «La nuit, tous les dieux sont noirs» (2014, finaliste au Grand Prix du livre de Montréal 2015), «Géologie des corps surpeuplés» (2011, finaliste au Prix du Poème en Prose Louis Guillaume 2012, en France), «Miniatures, balles perdues et autres désordres» (2008, Prix de Poésie Terrasses Saint-Sulpice de la revue Estuaire et prix Alain-Grandbois), «Le Nord est derrière moi» (2004), «L’intuition du rivage» (2000).Photo : Michel Biron