couverture

Continent X

Dyens, Ollivier

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Résumé

L'Occident vit aujourd'hui une telle révolution qu'on peut l'imaginer comme une terre nouvelle, à peine dégagée des brumes et des eaux, qu'on appelle ici le continent X. Dans ce conte philosophique, Ollivier Dyens explore ce monde où l'imaginaire contamine le réel, où pullulent les idées-virus, les images numériques, les machines de toutes sortes, où l'individu, unique et autonome, qui avait été le héraut du progrès depuis la Renaissance, semble s'effacer désormais derrière les essaims, les réseaux et les collectivités.

Biographie de l'auteur.e

Ollivier Dyens est né le 18 juillet 1963 à Rome en Italie. Après des études de cinéma (aux universités Concordia et Montréal), il a obtenu son doctorat de l'Université de Montréal avec une thèse portant sur l'impact des nouvelles technologies sur la représentation. Ollivier Dyens a enseigné à l'Université Sainte-Anne en Nouvelle-Écosse et à la Louisiana State University à Bâton Rouge. Il occupe présentement un poste de professeur agrégé au département d’Études françaises de l’Université Concordia. Ollivier Dyens a créé une revue: Feux chalins, seule revue littéraire française de Nouvelle-Écosse et deux sites web : Chair et Métal (www.chairetmetal.com), revue en-ligne qui analyse la société machine contemporaine, qui s’est méritée de nombreux prix internationaux dont ceux de meilleur site du mois du Monde Interactif et de meilleur site littéraire de La Presse de Montréal et Continent X (www.continentx.com) qui examine, de façon littéraire et visuelle, le processus d’acquisition de connaissances dans l’univers électronique.

Quatrième de couverture

L'Occident vit aujourd'hui une telle révolution qu'on peut l'imaginer comme une terre nouvelle, à peine dégagée des brumes et des eaux, qu'on appelle ici le continent X. Dans ce conte philosophique, Ollivier Dyens explore ce monde où l'imaginaire contamine le réel, où pullulent les idées-virus, les images numériques, les machines de toutes sortes, où l'individu, unique et autonome, qui avait été le héraut du progrès depuis la Renaissance, semble s'effacer désormais derrière les essaims, les réseaux et les collectivités.