couverture

Palais des très blanches mouffettes (Le)

Littérature semi-poche

Arenas, Reinaldo

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Résumé

Le narrateur est un adolescent mangeur de lézards et voleur de papier d'emballage pour écrire. Il ne fait rien de ses dix doigts, ne court pas après les femmes, ne songe qu'à partir de Cuba et finit torturé et pendu par la police. Sa mère écrit des lettres auxquelles personne ne répond, son grand-père ne parle plus... Une campagne écrasée par le soleil, une misère noire, une dictature...

Quatrième de couverture

Mille et une nuits . « Et toutes les voix qui étaient accourues à un certain moment pour nous intimer l'ordre de chanter, de continuer, perdent leurs accents désespérés, et tous les sons se résument désormais au pas de quelqu'un qui vient, plein d'assurance, certifier notre mort. Il approche. L'immense palais s'évanouit devant un hystérique roulement de cils. Il approche. Les innombrables angoisses sont levées devant l'étendue fixe où il se précipite déjà. (...) L'homme arrive. Et le pur, le pauvre, le héros n'est plus dès lors qu'un détritus qui a gardé l'empreinte de ceux qui l'ont piétiné. ». Dans cette campagne cubaine écrasée par le soleil, la misère noire et une dictature qui vit ses derniers moments, on ne peut qu'espérer devenir fou, ou mourir et rejoindre le « palais des très blanches mouffettes ». Mais existe-t-il vraiment un hâvre de paix pour les damnés de cette terre ?. Le Palais des très blanches mouffettes est le second volet d'une pentagonie qui compte les romans : Célestino avant l'aube, Encore une fois la mer, La Couleur de l'été et L'Assaut..