couverture

Robert Bourassa

Germain, Georges-Hébert

  • Éditeur : Libre Expression
  • ISBN 9782764807934
  • Paru le 20 février 2012
  • 29,95 $ *

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Résumé

Les études qu'il a entreprises, ses loisirs et ses lectures, les amitiés et les contacts qu'il a entretenus n'avaient qu'un but : former et armer le premier ministre qu'il serait un jour. Ceux qui ont connu l'enfant ou approché le politicien soutiennent que c'était un homme de paix et de bonté, avec beaucoup de charme, pas un charme fou, mais plutôt sage et apaisant, magnétique.Les journalistes adoraient Robert Bourassa, qui, paradoxalement, n'a jamais eu la faveur des médias. Au cours des années 1970, 1980 et 1990, pendant que les ténors de la souveraineté promettaient aux Québécois d'irréparables séquelles émotives s'ils ne la faisaient pas, Bourassa, absolument réfractaire à tout romantisme, faisait appel à leur bon sens, chiffres à l'appui.De la baie James au lac Meech, de la crise d'Octobre à celle d'Oka, de la défaite de 1976 au spectaculaire retour de 1985, de la maîtrise du pouvoir à la maladie, on suit la bête politique à la trace. Et derrière, peu à peu, se profile un homme parfois insaisissable et louvoyant, mais toujours honnête et attachant, un homme de bonne volonté qui aime profondément son pays, le Québec.

Biographie de l'auteur.e

Georges-Hébert Germain réside à Hampstead. Il signe avec René Angélil – Le Maître du jeu son dix-septième ouvrage. Dans un texte vif et intelligent, Georges-Hébert Germain brosse un portrait sans complaisance de l'homme qui figure parmi les plus grands imprésarios du monde. Il a été journaliste, d'abord attaché à La Presse, puis à L'Actualité et au Devoir. Il a travaillé comme pigiste pour la majorité des magazines québécois (Elle, Nous, Châtelaine, Readers Digest, etc). Il a participé comme chroniqueur, critique, commentateur, scénariste ou reporter à un grand nombre d'émissions de télévision à Radio-Canada, Télé-Métropole et Télé-Québec, de même qu'à l'Office national du film. Il a reçu plus de vingt prix de journalisme, dont le prix Judith-Jasmin, le prix Jules-Fournier, le prix Louis-Chantigny, le prix Montréal-Genève et, à deux reprises, le grand prix d'excellence de la Fondation des magazines canadiens. Il est l'auteur de quinze livres, certains publiés à l'étranger, parmi lesquels des ouvrages sur les Peuples du froid (1996) et les Coureurs des bois (2003) ainsi que des biographies de Christophe Colomb, de Guy Lafleur, de Monica la Mitraille et de Céline Dion.

Quatrième de couverture

Les études qu'il a entreprises, ses loisirs et ses lectures, les amitiés et les contacts qu'il a entretenus n'avaient qu'un but : former et armer le premier ministre qu'il serait un jour. Ceux qui ont connu l'enfant ou approché le politicien soutiennent que c'était un homme de paix et de bonté, avec beaucoup de charme, pas un charme fou, mais plutôt sage et apaisant, magnétique.Les journalistes adoraient Robert Bourassa, qui, paradoxalement, n'a jamais eu la faveur des médias. Au cours des années 1970, 1980 et 1990, pendant que les ténors de la souveraineté promettaient aux Québécois d'irréparables séquelles émotives s'ils ne la faisaient pas, Bourassa, absolument réfractaire à tout romantisme, faisait appel à leur bon sens, chiffres à l'appui.De la baie James au lac Meech, de la crise d'Octobre à celle d'Oka, de la défaite de 1976 au spectaculaire retour de 1985, de la maîtrise du pouvoir à la maladie, on suit la bête politique à la trace. Et derrière, peu à peu, se profile un homme parfois insaisissable et louvoyant, mais toujours honnête et attachant, un homme de bonne volonté qui aime profondément son pays, le Québec.